Éphéméride : 2005, fin d'été et rentrée...
- Père Noël ?
- Retraitée
- Le 14 juillet à la Girelle
- Ils ont réussi leurs examens
- Greniers vidés ?
- Désiré Pistou
- Festival de Juillet
- Fête votive
- Arrêt couleur (1)
- Arrêt couleur (2)
- Spirit of passion
- Challenge des élus
- Pétanque frite
- Tournoi Jean-Pierre Moinault
- La Prévoyante
- Novis
- Buisson de fleurs
- Le Palis :
• Lina Blanc
• Moisson au Palis
- Dépistage du cancer du sein
- Est-ce possible ?
- Carnet de voyage
- J'ai goûté... et j'ai adoré...
- Tomes de Banon
- Un petit kit (solaire) vaut mieux que...
- David Mc Underwood
- La route de l'espoir
Bien en avance sur le Noël prévu, France Télécom ouvrira techniquement et commercialement l'ADSL pour Villedieu et Buisson le 24 septembre 2005. Les clients intéressés pourront alors contacter le FAI (Fournisseur d'Accès Internet) de leur choix.
Plus de 97 % des abonnés à ce central seront éligibles à l'ADSL avec des débits possibles allant jusqu'à 2 Mgb.
Une journée d'information animée par un revendeur du réseau France Télécom sera organisée le 7 octobre à la salle Bertrand. Les horaires seront confirmés par voie d'affichage.
L'inauguration institutionnelle se déroulera ce même jour à 18h en présence, annoncée, de Claude Haut. Des invitations seront envoyées à la discrétion des deux municipalités.
Plus de 97 % des abonnés à ce central seront éligibles à l'ADSL avec des débits possibles allant jusqu'à 2 Mgb.
Une journée d'information animée par un revendeur du réseau France Télécom sera organisée le 7 octobre à la salle Bertrand. Les horaires seront confirmés par voie d'affichage.
L'inauguration institutionnelle se déroulera ce même jour à 18h en présence, annoncée, de Claude Haut. Des invitations seront envoyées à la discrétion des deux municipalités.
Philippe de Moustier
Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Adieu menus, couverts, vaisselles et bambins ! L’heure de la retraite a sonné et Mireille Dieu, cantinière à l’école de Villedieu depuis le 1er septembre 1984, quitte son poste mais ne délaisse pas pour autant l’école du village.
C’est maintenant, en tant que mamie, qu’elle fréquentera les lieux pour y conduire sa petite fille Emma avant que Martin soit lui aussi en âge d’aller en maternelle.
Avant Villedieu, Mireille a occupé différents postes. Elle a commencé sa carrière à la société Tecnoma de Vaison. Pour suivre son mari Michel, elle a ensuite travaillé à la mutuelle des PTT de Chalons en Champagne puis dans une mutuelle de cadres à Lyon avant un retour en Provence en 1982 où elle fait de l’intérim à l’hôpital de Vaison et à la centrale des titres du Crédit Agricole.
Elle succède donc à Marie-Rose Vial (la maman d’Huguette) qui fut cantinière de nombreuses années également.
Il est temps de dire merci à Mireille pour toutes ces heures passées au service des enfants, pour sa patience et son dévouement. Merci et heureuse retraite , Mireille, toujours active et entourée de vos petits-enfants.
C’est maintenant, en tant que mamie, qu’elle fréquentera les lieux pour y conduire sa petite fille Emma avant que Martin soit lui aussi en âge d’aller en maternelle.
Avant Villedieu, Mireille a occupé différents postes. Elle a commencé sa carrière à la société Tecnoma de Vaison. Pour suivre son mari Michel, elle a ensuite travaillé à la mutuelle des PTT de Chalons en Champagne puis dans une mutuelle de cadres à Lyon avant un retour en Provence en 1982 où elle fait de l’intérim à l’hôpital de Vaison et à la centrale des titres du Crédit Agricole.
Elle succède donc à Marie-Rose Vial (la maman d’Huguette) qui fut cantinière de nombreuses années également.
Il est temps de dire merci à Mireille pour toutes ces heures passées au service des enfants, pour sa patience et son dévouement. Merci et heureuse retraite , Mireille, toujours active et entourée de vos petits-enfants.
Armelle Dénéréaz
Mireille Dieu
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Les combattants d'Algérie Tunisie Maroc et leurs amis attendaient avec impatience leur réunion annuelle.
La Girelle était une fois encore le cadre de retrouvailles chaleureuses.
Toutes et tous ont fait honneur aux agneaux grillés, le grand air et le bon vin ont fait le reste.
Merci aux organisateurs dévoués.
Brigitte Rochas
Nous remercions Marie-Thérèse et Gilles Benoit, résidents secondaires près du tennis et venant d’Aulnay sur Iton dans l’Eure, pour ces photos.
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Les jeunes de Villedieu ne font pas que traîner au skate park, au café du centre ou en boîte de nuit. Il leur arrive d’aller à l’école, éventuellement d’y travailler et de réussir. Voici les réussites de cette année, en espérant n’avoir oublié personne...
Difficile de ne pas souligner le caractère exceptionnel de la réussite de Joris Lech. Sorti (comme Pierrine, Jérémy et Alexandra) de l’école de Villedieu et du collège de Vaison, il a réussi le baccalauréat avec la mention très bien et les félicitations du jury (et les notes de 20/20 en maths et sciences économiques), il a été dispensé du concours d’entrée et admis directement à l’école des sciences politiques de Paris.
Que les autres ne prennent pas ombrage de cette mise en avant : chaque réussite a sa valeur en elle-même et tout le monde a le droit d’échouer. Ce n’est pas l’auteur de ces lignes, qui s’y est pris à deux fois pour réussir le bac, qui dira le contraire.
Difficile de ne pas souligner le caractère exceptionnel de la réussite de Joris Lech. Sorti (comme Pierrine, Jérémy et Alexandra) de l’école de Villedieu et du collège de Vaison, il a réussi le baccalauréat avec la mention très bien et les félicitations du jury (et les notes de 20/20 en maths et sciences économiques), il a été dispensé du concours d’entrée et admis directement à l’école des sciences politiques de Paris.
Que les autres ne prennent pas ombrage de cette mise en avant : chaque réussite a sa valeur en elle-même et tout le monde a le droit d’échouer. Ce n’est pas l’auteur de ces lignes, qui s’y est pris à deux fois pour réussir le bac, qui dira le contraire.
Yves Tardieu
Alexandra Lhomme
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Gaël Dieu
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Jérémy Dieu 
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Pierrine Borel 
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Joris Lech
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Le vide greniers, organisé par le comité des fêtes a connu un très grand succès ce 14 juillet.
Dès 6 heures du matin, particuliers et enfants ont été nombreux à venir s'installer sur la place du village où on pouvait déguster un petit café et une viennoiserie.
Une quarantaine de stands a permis de trouver de tout : jeux d’enfants, objets de collection, des journaux comme Paris Match, des verres, des colliers...
Le vide-grenier de Villedieu a toujours lieu le 14 juillet. C'est un rendez-vous qui attire beaucoup de monde : une date à retenir pour l'an prochain.
Dès 6 heures du matin, particuliers et enfants ont été nombreux à venir s'installer sur la place du village où on pouvait déguster un petit café et une viennoiserie.
Une quarantaine de stands a permis de trouver de tout : jeux d’enfants, objets de collection, des journaux comme Paris Match, des verres, des colliers...
Le vide-grenier de Villedieu a toujours lieu le 14 juillet. C'est un rendez-vous qui attire beaucoup de monde : une date à retenir pour l'an prochain.
Nieki Veilex
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Après une interruption d’une année, le Tennis Club villadéen a renoué avec la soirée pistou sur la place, avec une équipe dirigeante partiellement renouvelée et sa fidèle armée de bénévoles à la corvée de pluches.
En même temps que se préparait le pistou, la nouvelle gestion des cours (réservations, nouvelles cartes...) s’est mise en place.
Cette soirée a connu son succès habituel et tout le monde l’a bien appréciée.
En même temps que se préparait le pistou, la nouvelle gestion des cours (réservations, nouvelles cartes...) s’est mise en place.
Cette soirée a connu son succès habituel et tout le monde l’a bien appréciée.
Yves Tardieu
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Cliquez ici pour écouter l'interview de Yves Tardieu sur France Bleu Vaucluse pour présenter le Festival de Juillet 2005 >>> 
Les trois soirées estivales organisées par La Gazette pour la quatrième année consécutive ont bénéficié d’un très beau temps, d’un soutien accru de nombreux partenaires, de spectacles de qualité et d’un public plus nombreux encore que les années précédentes. La buvette, alimentée par les producteurs locaux, a tenu son rang et accompagné ces soirées de la meilleure façon.
Let hit be le 20 juillet
Avec les Beatles chantés par Let hit be, le jardin de l’église était plein, près de 250 personnes ont été emballées. Dès les premières notes de Come together, on s’est rendu compte que l’on allait assister à un grand spectacle. Quand c’est en place comme ça, quand ça sonne comme ça, rien à dire sinon écouter et se régaler.
Une mécanique bien huilée où chacun a sa place : Gérard à la batterie vocale, Pierre-Eric à la basse, Christophe (soprano), Michel (ténor) et Christian (alto) n’ont pas besoin d’instruments pour faire revivre le band de Liverpool.
Ils le font plus que revivre d’ailleurs car les cinq compères ne se contentent pas d’aligner les reprises. Ils ont travaillé et se sont imprégnés des chansons des Beatles pour les resservir à la sauce Let hit be. Ca marche en rock (It is a hard day’s night, Back in the USSR) comme dans la guimauve (Darling), en version ragga (You’re coming old) comme en samba (I wanna hold your hand). On a même eu droit à quel-ques digressions dans Hey Jude, un bouillant Twist and shout et un sublime When I’m sixty four.
Bref, de grandes sensations au cours d’une excellente soirée qui a aussi bénéficié du cadre magnifique du jardin de l’église et dont tout le monde est parti plus que ravi.
Denis Caron le 21 juillet
La voix chaleureuse de Denis Caron a tout de suite conquis l’auditoire de la deuxième soirée. Il s’appuie sur un spectacle bien en place et une grande complicité avec les deux autres membres du trio, son frère Daniel à la basse et au chant, et Jean Maillard à la batterie. Les histoires drôles, les anecdotes de la vie québécoise, les chansons du répertoire québécois, de Félix Leclerc, Beau Dommage ou Robert Charlebois s’enchaînent dans un spectacle chaleureux et plein d’humour. L’accent québécois ajoute à la saveur d’une soirée où le folklore, du Québec ou de la Lousiane, a eu sa place. Les compositions de Denis Caron trouvent naturellement leur place dans le spectacle lui donnant une tonalité plus engagée. Un chanteur qui croit en l’homme et constate avec effroi les dégâts que celui-ci impose à la nature et au monde qui nous entoure comme dans l’émouvante “D’innocentes larmes” ou dans “Rêver en couleur”.
Cette soirée fut un vrai p’tit bonheur émaillée d’expressions aux accents de vieux français comme “T’as barré le char ?” pour ‘Tu as bien fermé la voiture ?”.
Les applaudissements fournis du public ont témoigné de la qualité du spectacle proposé.
Jean Marc Dermesropian le 22 juillet
Après avoir offert l’année dernière l’Abécédaire de la chanson, Jean Marc Dermesropian, pilier du festival Brassens de Vaison la Romaine a concocté tout un programme autour de la Provence. Pour commencer, Les marchés de Provence chers à Gilbert Bécaud donnaient le ton. Une succession de chansons, de poèmes et d’histoires drôles rappelant le midi, Marseille, les odeurs et l’accent, ont permis à Jean Marc Dermesropian de donner une nouvelle fois un aperçu de son talent d’interprète et de guitariste, y compris classique..
Entraîné par sa bonne humeur, le public a pu fredonner les airs connus comme ceux de Fernandel (Félicie) ou des extraits d’opérettes de Vincent Scotto.
La soirée s’est prolongée par quelques “bonus”. Jean Marc Dermesropian connait des centaines et des centaines de chansons et peut répondre au pied levé à presque toutes les demandes du public.
Là encore, cette soirée a ravi les présents.
Les trois soirées estivales organisées par La Gazette pour la quatrième année consécutive ont bénéficié d’un très beau temps, d’un soutien accru de nombreux partenaires, de spectacles de qualité et d’un public plus nombreux encore que les années précédentes. La buvette, alimentée par les producteurs locaux, a tenu son rang et accompagné ces soirées de la meilleure façon.
Let hit be le 20 juillet
Avec les Beatles chantés par Let hit be, le jardin de l’église était plein, près de 250 personnes ont été emballées. Dès les premières notes de Come together, on s’est rendu compte que l’on allait assister à un grand spectacle. Quand c’est en place comme ça, quand ça sonne comme ça, rien à dire sinon écouter et se régaler.
Une mécanique bien huilée où chacun a sa place : Gérard à la batterie vocale, Pierre-Eric à la basse, Christophe (soprano), Michel (ténor) et Christian (alto) n’ont pas besoin d’instruments pour faire revivre le band de Liverpool.
Ils le font plus que revivre d’ailleurs car les cinq compères ne se contentent pas d’aligner les reprises. Ils ont travaillé et se sont imprégnés des chansons des Beatles pour les resservir à la sauce Let hit be. Ca marche en rock (It is a hard day’s night, Back in the USSR) comme dans la guimauve (Darling), en version ragga (You’re coming old) comme en samba (I wanna hold your hand). On a même eu droit à quel-ques digressions dans Hey Jude, un bouillant Twist and shout et un sublime When I’m sixty four.
Bref, de grandes sensations au cours d’une excellente soirée qui a aussi bénéficié du cadre magnifique du jardin de l’église et dont tout le monde est parti plus que ravi.
Denis Caron le 21 juillet
La voix chaleureuse de Denis Caron a tout de suite conquis l’auditoire de la deuxième soirée. Il s’appuie sur un spectacle bien en place et une grande complicité avec les deux autres membres du trio, son frère Daniel à la basse et au chant, et Jean Maillard à la batterie. Les histoires drôles, les anecdotes de la vie québécoise, les chansons du répertoire québécois, de Félix Leclerc, Beau Dommage ou Robert Charlebois s’enchaînent dans un spectacle chaleureux et plein d’humour. L’accent québécois ajoute à la saveur d’une soirée où le folklore, du Québec ou de la Lousiane, a eu sa place. Les compositions de Denis Caron trouvent naturellement leur place dans le spectacle lui donnant une tonalité plus engagée. Un chanteur qui croit en l’homme et constate avec effroi les dégâts que celui-ci impose à la nature et au monde qui nous entoure comme dans l’émouvante “D’innocentes larmes” ou dans “Rêver en couleur”.
Cette soirée fut un vrai p’tit bonheur émaillée d’expressions aux accents de vieux français comme “T’as barré le char ?” pour ‘Tu as bien fermé la voiture ?”.
Les applaudissements fournis du public ont témoigné de la qualité du spectacle proposé.
Jean Marc Dermesropian le 22 juillet
Après avoir offert l’année dernière l’Abécédaire de la chanson, Jean Marc Dermesropian, pilier du festival Brassens de Vaison la Romaine a concocté tout un programme autour de la Provence. Pour commencer, Les marchés de Provence chers à Gilbert Bécaud donnaient le ton. Une succession de chansons, de poèmes et d’histoires drôles rappelant le midi, Marseille, les odeurs et l’accent, ont permis à Jean Marc Dermesropian de donner une nouvelle fois un aperçu de son talent d’interprète et de guitariste, y compris classique..
Entraîné par sa bonne humeur, le public a pu fredonner les airs connus comme ceux de Fernandel (Félicie) ou des extraits d’opérettes de Vincent Scotto.
La soirée s’est prolongée par quelques “bonus”. Jean Marc Dermesropian connait des centaines et des centaines de chansons et peut répondre au pied levé à presque toutes les demandes du public.
Là encore, cette soirée a ravi les présents.
Laurya Fardennes
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Pour la deuxième année consécutive l’aïoli se déroulait le soir. A nouveau, la place était pleine et le comité des fêtes ne disposant que de 400 places a refusé du monde.
Des petits défauts d’organisation ont suscité quelques énervements dans les coulisses mais l’essentiel a été assuré : une soirée très agréable grâce à un très bon aïoli, le beau temps et un orchestre (“Alain Jack”) qui a su faire danser beaucoup de monde jusqu’à très tard.
On a pu noter aussi que la fréquentation assidue du café du Centre et du côtes du Rhône servi par le comité des fêtes a un peu échauffé les esprits et a provoqué 4 bagarres, sans gravité il est vrai.
Natacha Boursier, serveuse au bar cet été et épicière à partir d’octobre, a fait preuve à cette occasion d’une autorité remarquable, s’interposant sans hésiter entre les malabars énervés et faisant cesser les hostilités. Les clients de l’épicerie (et l’épcier lui même...) sont prévenus...
La venue du grand orchestre de Guy Icard le samedi (voilà un nom qui fleure les années 70...) a suscité quelques réticences chez beaucoup : trop beau, trop grand, trop cher pour Villedieu. Il y avait paraît-il 19 personnes au total dans cet orchestre en comptant les musiciens, les danseuses et les techniciens. Je n’ai aucune idée du prix mais j’ai été agréablement surpris : un son bien réglé malgré le nombre des musiciens et le volume du matériel et un show plutôt bien fait. Bref, un vrai bal de fête votive selon la tradition des années 60, 70 ou 80.
Les dimanche et lundi nous ont ramenés vers des terrains connus avec les Petits cochons qui depuis quelques années viennent régulièrement à Villedieu, un disc-jockey pour la soirée du bar et avec la course cycliste du dimanche matin organisée par l’USCV.
Le groupe de rock les Intox, présent l’année dernière lors de la soirée “punk”, n’avait pu jouer. Le mardi, ils ont proposé un bon concert avec une sono raisonnable à un prix défiant toute concurrence. Au total, une fête votive réussie même si quelquefois elle semble un peu délaissée, à la fois par les Villadéens et les touristes.
Des petits défauts d’organisation ont suscité quelques énervements dans les coulisses mais l’essentiel a été assuré : une soirée très agréable grâce à un très bon aïoli, le beau temps et un orchestre (“Alain Jack”) qui a su faire danser beaucoup de monde jusqu’à très tard.
On a pu noter aussi que la fréquentation assidue du café du Centre et du côtes du Rhône servi par le comité des fêtes a un peu échauffé les esprits et a provoqué 4 bagarres, sans gravité il est vrai.
Natacha Boursier, serveuse au bar cet été et épicière à partir d’octobre, a fait preuve à cette occasion d’une autorité remarquable, s’interposant sans hésiter entre les malabars énervés et faisant cesser les hostilités. Les clients de l’épicerie (et l’épcier lui même...) sont prévenus...
La venue du grand orchestre de Guy Icard le samedi (voilà un nom qui fleure les années 70...) a suscité quelques réticences chez beaucoup : trop beau, trop grand, trop cher pour Villedieu. Il y avait paraît-il 19 personnes au total dans cet orchestre en comptant les musiciens, les danseuses et les techniciens. Je n’ai aucune idée du prix mais j’ai été agréablement surpris : un son bien réglé malgré le nombre des musiciens et le volume du matériel et un show plutôt bien fait. Bref, un vrai bal de fête votive selon la tradition des années 60, 70 ou 80.
Les dimanche et lundi nous ont ramenés vers des terrains connus avec les Petits cochons qui depuis quelques années viennent régulièrement à Villedieu, un disc-jockey pour la soirée du bar et avec la course cycliste du dimanche matin organisée par l’USCV.
Le groupe de rock les Intox, présent l’année dernière lors de la soirée “punk”, n’avait pu jouer. Le mardi, ils ont proposé un bon concert avec une sono raisonnable à un prix défiant toute concurrence. Au total, une fête votive réussie même si quelquefois elle semble un peu délaissée, à la fois par les Villadéens et les touristes.
Yves Tardieu
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Les feuilles des platanes de Villedieu ont frémi de bonheur en ce 15 août.
De merveilleuses notes de jazz les incitaient à danser tandis que leur cœur, leur regard et leur esprit jouissaient de notes colorées.
Belles Arlésiennes, belles Africaines ou belles dénudées, toute une colonie d’oiseaux, chiens, chats, coqs ou même tortues, fleurs de toutes saisons, paysages marins, de montagne ou provençaux, intérieurs colorés ou décors abstraits, tous ont joué les modèles pour des œuvres aussi variées que réussies : gravures, photos, collages, aquarelles ou huiles. Il y en avait pour tous les goûts.
Les artistes, Villadéens pure souche ou venus des quatre coins de la France ou d’Europe, habitués des expos ou peintres tout neufs, étaient unis autour d’un seul objectif, nous faire partager leur passion. Ce fut réussi.
Le mistral a cessé et les platanes se reposent. Trop vite ils perdront leurs feuilles mais pas l’espoir de les retrouver vibrantes sur cette place qui, cet été encore, fut animée de bien de belles fêtes.
A tous, organisateurs et artistes, merci.
De merveilleuses notes de jazz les incitaient à danser tandis que leur cœur, leur regard et leur esprit jouissaient de notes colorées.
Belles Arlésiennes, belles Africaines ou belles dénudées, toute une colonie d’oiseaux, chiens, chats, coqs ou même tortues, fleurs de toutes saisons, paysages marins, de montagne ou provençaux, intérieurs colorés ou décors abstraits, tous ont joué les modèles pour des œuvres aussi variées que réussies : gravures, photos, collages, aquarelles ou huiles. Il y en avait pour tous les goûts.
Les artistes, Villadéens pure souche ou venus des quatre coins de la France ou d’Europe, habitués des expos ou peintres tout neufs, étaient unis autour d’un seul objectif, nous faire partager leur passion. Ce fut réussi.
Le mistral a cessé et les platanes se reposent. Trop vite ils perdront leurs feuilles mais pas l’espoir de les retrouver vibrantes sur cette place qui, cet été encore, fut animée de bien de belles fêtes.
A tous, organisateurs et artistes, merci.
France Bédouin
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Oh ! Ces couleurs, éclatantes, pastels, sombres que je ne distingue pas. Je suis daltonienne !
Sachez que 8 % de la population masculine et 0,45 % de la population féminine sont daltoniens. Cette défaillance de la vue est héréditaire. Les femmes la lèguent à leurs enfants, surtout à leurs fils. Dans la vie courante c'est plutôt un handicap, selon le degré de daltonisme, puisque la personne ne peut pas voir certaines couleurs et par la suite ne peut pas exercer certains métiers. Pour vous initier aux gênes rencontrées, je vous ai choisi quelques exemples. Dans un magasin de chaussures je dois toujours demander si celles de mon choix sont noires, bleu marine ou marrons pour que je puisse les mettre avec mes vêtements. Ceux-ci sont toujours choisis avec des copines et surtout j’essaie d'avoir des couleurs neutres. Il m'est arrivé à plusieurs reprises de me promener avec une chaussette bleu marine et une noire jusqu'au moment où quelqu'un me fait la réflexion.
Un jour, une amie qui avait fait repeindre sa maison, nous invite mon fils et moi pour voir le résultat. Les murs étaient peints dans une nuance d'orange, enfin je peux me tromper, et les portes d'intérieur dans une couleur pastel. Le fiston s'émerveille "joli ce rose", la mère qui corrige "mais c'est du bleu" et la propriétaire nous dit "mais c'est du gris", éclats de rire. Raté !
Mon dernier exploit c'était au restaurant. La serveuse me donne la carte : impossible de lire le nom des plats. Je me suis fait aider comme d'habitude. On a l'air fin, mais c'est rigolo pour tout le monde.
Nous sommes nés comme ça, mieux vaut le prendre en rigolant, il n'y a pas de remède !
Sachez que 8 % de la population masculine et 0,45 % de la population féminine sont daltoniens. Cette défaillance de la vue est héréditaire. Les femmes la lèguent à leurs enfants, surtout à leurs fils. Dans la vie courante c'est plutôt un handicap, selon le degré de daltonisme, puisque la personne ne peut pas voir certaines couleurs et par la suite ne peut pas exercer certains métiers. Pour vous initier aux gênes rencontrées, je vous ai choisi quelques exemples. Dans un magasin de chaussures je dois toujours demander si celles de mon choix sont noires, bleu marine ou marrons pour que je puisse les mettre avec mes vêtements. Ceux-ci sont toujours choisis avec des copines et surtout j’essaie d'avoir des couleurs neutres. Il m'est arrivé à plusieurs reprises de me promener avec une chaussette bleu marine et une noire jusqu'au moment où quelqu'un me fait la réflexion.
Un jour, une amie qui avait fait repeindre sa maison, nous invite mon fils et moi pour voir le résultat. Les murs étaient peints dans une nuance d'orange, enfin je peux me tromper, et les portes d'intérieur dans une couleur pastel. Le fiston s'émerveille "joli ce rose", la mère qui corrige "mais c'est du bleu" et la propriétaire nous dit "mais c'est du gris", éclats de rire. Raté !
Mon dernier exploit c'était au restaurant. La serveuse me donne la carte : impossible de lire le nom des plats. Je me suis fait aider comme d'habitude. On a l'air fin, mais c'est rigolo pour tout le monde.
Nous sommes nés comme ça, mieux vaut le prendre en rigolant, il n'y a pas de remède !
Bernadette Croon
Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Pour la seconde année consécutive, le moto club « Spirit of passion » a organisé une rencontre et des balades moto dans la région : « La Tarasque 2005 »
Ils se sont retrouvés à la Magnanarié fin juillet pour des balades dans le Tricastin, le Nyonsais et une ascension du Mont Ventoux.
Pour eux, « l’année 2005 est particulièrement active : le tour de Corse, la participation aux coupes moto légende, le Piémont Italien, le Cantal et plus de 18 sorties dominicales » expliquent Marc Bertrand et Jean Michel Jouve les fondateurs du club. Ils sont heureux d’annoncer leur grand projet pour 2006 : le tour du Sénégal à moto !
Pour tous les amateurs désirant rejoindre le club ou obtenir des informations : renseignements sur le site www.w650-france.com ou Marc Bertrand au 04 93 40 82 63.
Ils se sont retrouvés à la Magnanarié fin juillet pour des balades dans le Tricastin, le Nyonsais et une ascension du Mont Ventoux.
Pour eux, « l’année 2005 est particulièrement active : le tour de Corse, la participation aux coupes moto légende, le Piémont Italien, le Cantal et plus de 18 sorties dominicales » expliquent Marc Bertrand et Jean Michel Jouve les fondateurs du club. Ils sont heureux d’annoncer leur grand projet pour 2006 : le tour du Sénégal à moto !
Pour tous les amateurs désirant rejoindre le club ou obtenir des informations : renseignements sur le site www.w650-france.com ou Marc Bertrand au 04 93 40 82 63.
Armelle Dénéréaz
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Le samedi 3 septembre sur la place de Rasteau le premier challenge des élus de la Copavo a vu le jour. Né d’une discussion informelle entre les maires de Villedieu, Roaix et Rasteau à la sortie d’une réunion, l’idée a fait son chemin et s’est concrétisée.
Chaque conseil municipal a été sollicité pour présenter des équipes par village. Certains villages ont constitué deux équipes, d’autres une.
Il y avait au total 10 villages représentés (sur 14) et 15 équipes pour ce concours de boule inédit... L’équipe de Villedieu était constituée par la triplette Vollot, Martin, Berthet-Rayne et Buisson par Blanc, Puigmal, Tortel.
Ce tournoi a été pris en charge pour l’organisation par la Boule amicale de Rasteau. Pour permettre à chacun de passer une bonne journée dans un tournoi sans enjeu (ni mise pour s’inscrire ni prix à gagner...), il n’a pas eu lieu par élimination mais selon le “système Aurand”.
Chaque équipe a fait 4 parties (les adversaires sont tirés au sort). Gagner vaut deux points, une défaite 0. Les équipes sont classées au nombre de points puis au “goal average”.
Il n’y avait pas de prix mais un challenge à gagner et chaque équipe a reçu une valisette de vin (les vignerons de Rasteau ont donné les bouteilles) et un tee-shirt floqué au nom de la SNEF qui les a offerts.
Pour tenir le coup pendant cette dure journée, les compétiteurs ont pu se restaurer avec un repas (crudités, grillades, frites, fromage et glace) préparé par la Boule amicale de Rasteau et que chacun a payé 10 €.
L’équipe de Rasteau a gagné ce premier challenge devant l’équipe de Villedieu.
Chaque conseil municipal a été sollicité pour présenter des équipes par village. Certains villages ont constitué deux équipes, d’autres une.
Il y avait au total 10 villages représentés (sur 14) et 15 équipes pour ce concours de boule inédit... L’équipe de Villedieu était constituée par la triplette Vollot, Martin, Berthet-Rayne et Buisson par Blanc, Puigmal, Tortel.
Ce tournoi a été pris en charge pour l’organisation par la Boule amicale de Rasteau. Pour permettre à chacun de passer une bonne journée dans un tournoi sans enjeu (ni mise pour s’inscrire ni prix à gagner...), il n’a pas eu lieu par élimination mais selon le “système Aurand”.
Chaque équipe a fait 4 parties (les adversaires sont tirés au sort). Gagner vaut deux points, une défaite 0. Les équipes sont classées au nombre de points puis au “goal average”.
Il n’y avait pas de prix mais un challenge à gagner et chaque équipe a reçu une valisette de vin (les vignerons de Rasteau ont donné les bouteilles) et un tee-shirt floqué au nom de la SNEF qui les a offerts.
Pour tenir le coup pendant cette dure journée, les compétiteurs ont pu se restaurer avec un repas (crudités, grillades, frites, fromage et glace) préparé par la Boule amicale de Rasteau et que chacun a payé 10 €.
L’équipe de Rasteau a gagné ce premier challenge devant l’équipe de Villedieu.
Yves Tardieu
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Rasteau n’est pas le seul haut lieu de la pétanque cet automne.
Nos amis belges peuvent être satisfaits d’apprendre que les championnats du monde de pétanque ont eu lieu à Bruxelles du 21 au 26 septembre et que les Belges brillent.
Au jour où l’article est écrit, l’équipe de France 1 a gagné contre le Japon, la Hongrie et la Norvège mais elle a perdu contre la Belgique 2, la Côte d’Ivoire et la Hollande !
La géographie de la pétanque est mal connue puisque les vainqueurs des poules de qualification sont : la Mauritanie, Madagascar, le Maroc, Tahiti, l’Espagne, la Tunisie et les deux équipes de Belgique !
Un résumé des championnats sera diffusé sur France 3 le dimanche 2 octobre avec comme consultant Henri Salvador.
Nos amis belges peuvent être satisfaits d’apprendre que les championnats du monde de pétanque ont eu lieu à Bruxelles du 21 au 26 septembre et que les Belges brillent.
Au jour où l’article est écrit, l’équipe de France 1 a gagné contre le Japon, la Hongrie et la Norvège mais elle a perdu contre la Belgique 2, la Côte d’Ivoire et la Hollande !
La géographie de la pétanque est mal connue puisque les vainqueurs des poules de qualification sont : la Mauritanie, Madagascar, le Maroc, Tahiti, l’Espagne, la Tunisie et les deux équipes de Belgique !
Un résumé des championnats sera diffusé sur France 3 le dimanche 2 octobre avec comme consultant Henri Salvador.
Sites Internet :
http://www.fipjp.com/~brussels2005/
http://www.petanquebelge.com/
Yves Tardieu
Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Jean-Pierre Moinault, trop tôt décédé, était un très bon joueur d’échecs aussi bien par sa technique de jeu que par son éthique des échecs. Avec lui, ou plutôt contre lui, les parties étaient très difficiles et passionnantes. Il préférait bien jouer et perdre que gagner en jouant mal. Il avait un sens aigu du sacrifice de pièces et une belle vision de la position d’attaque.
Il aurait voulu que le club de Villedieu joue par équipes, ce qui se fait depuis 2 ans. Le club d’échecs de Villedieu a décidé en son hommage de créer un tournoi « Jean-Pierre Moinault ».
La première édition de ce tournoi a eu lieu le dimanche 11 septembre chez Denis Tardieu. Une quinzaine de jeunes avaient été invités. Ils sont venus de Bollène, Morières, Isle-sur-la-Sorgue, Bagnols-sur-Cèze et de Villedieu au grand complet. Dans une ambiance familiale très conviviale, dès 10 h du matin, les compétiteurs ont poussé ces petites pièces en buis qui font la joie de tout le monde.
Après un repas très arrosé, la reprise a été difficile et les plus sobres tirèrent leur épingle du jeu. Le vainqueur Ivan Sibirko a gagné tous ses matchs. Le meilleur de notre club est Frédéric Alary (c’est lui qui a apporté le vin). Bonne performance de Damien Dénéréaz, de Mathilde Giraudel et de Paul Tardieu, premier des jeunes non licenciés.
Petit bilan de la saison passée :
L’équipe monte en N5. Citons les joueurs qui ont permis cela : Denis Tardieu, Peter Stolvick, Bernard Lubrano, Mathilde Giraudel, Damien Dénéréaz et Frédéric Alary.
Individuellement, Mathilde est championne benjamine et Damien s’est très bien défendu dans un tournoi très relevé. Les joueurs dans leur ensemble ont participé à des tournois en parties lentes ou rapides.
Pour la saison à venir l’équipe visera surtout le maintien. Elle sera renforcée par François Reynaud de Morières et René Kermann qui se décide enfin à jouer à Villedieu. Individuellement il y aura les championnats de Vaucluse ainsi que plusieurs tournois : Morières, Avignon, Orange etc.
Nous accueillons toujours les enfants le vendredi de 20h à 21h, à la salle annexe du bar (non-fumeurs). Ils peuvent apprendre à jouer ou se perfectionner.
Il aurait voulu que le club de Villedieu joue par équipes, ce qui se fait depuis 2 ans. Le club d’échecs de Villedieu a décidé en son hommage de créer un tournoi « Jean-Pierre Moinault ».
La première édition de ce tournoi a eu lieu le dimanche 11 septembre chez Denis Tardieu. Une quinzaine de jeunes avaient été invités. Ils sont venus de Bollène, Morières, Isle-sur-la-Sorgue, Bagnols-sur-Cèze et de Villedieu au grand complet. Dans une ambiance familiale très conviviale, dès 10 h du matin, les compétiteurs ont poussé ces petites pièces en buis qui font la joie de tout le monde.
Après un repas très arrosé, la reprise a été difficile et les plus sobres tirèrent leur épingle du jeu. Le vainqueur Ivan Sibirko a gagné tous ses matchs. Le meilleur de notre club est Frédéric Alary (c’est lui qui a apporté le vin). Bonne performance de Damien Dénéréaz, de Mathilde Giraudel et de Paul Tardieu, premier des jeunes non licenciés.
René Kermann
Petit bilan de la saison passée :
L’équipe monte en N5. Citons les joueurs qui ont permis cela : Denis Tardieu, Peter Stolvick, Bernard Lubrano, Mathilde Giraudel, Damien Dénéréaz et Frédéric Alary.
Individuellement, Mathilde est championne benjamine et Damien s’est très bien défendu dans un tournoi très relevé. Les joueurs dans leur ensemble ont participé à des tournois en parties lentes ou rapides.
Pour la saison à venir l’équipe visera surtout le maintien. Elle sera renforcée par François Reynaud de Morières et René Kermann qui se décide enfin à jouer à Villedieu. Individuellement il y aura les championnats de Vaucluse ainsi que plusieurs tournois : Morières, Avignon, Orange etc.
Nous accueillons toujours les enfants le vendredi de 20h à 21h, à la salle annexe du bar (non-fumeurs). Ils peuvent apprendre à jouer ou se perfectionner.
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Le 11 septembre a été aussi la date de l’ouverture de la chasse. Cette ouverture a été « moyenne » à cause du mauvais temps. Il y a du gibier, en particulier des lièvres même si pour ce premier jour ils ont réussi pour la plupart à s’échapper. Il n’y a pas eu non plus de gros gibier, sanglier ou chevreuil, au tableau de chasse de cette ouverture. Toutefois tout le monde ou presque a tué quelque chose.
La société de chasse a vendu cette année une soixantaine de cartes dont le prix va de 40 euros pour les Villadéens à 160 euros pour les étrangers à la commune et 80 euros pour les “demi-étrangers”. Pour la chasse au gros gibier, il faut également acheter une carte spéciale.
L’argent reccueilli sert à financer les lâchers de gibier. Il y a des lâchers de repeuplement faits en dehors des périodes de chasse. Dans l’année la Prévoyante fait quatre lâchers de tir, essentiellement de faisans et des perdreaux adultes. Le premier a eu lieu la veille de l’ouverture et les trois autres sont programmés les 2 octobre, 1er novembre et 11 décembre.
La société de chasse a vendu cette année une soixantaine de cartes dont le prix va de 40 euros pour les Villadéens à 160 euros pour les étrangers à la commune et 80 euros pour les “demi-étrangers”. Pour la chasse au gros gibier, il faut également acheter une carte spéciale.
L’argent reccueilli sert à financer les lâchers de gibier. Il y a des lâchers de repeuplement faits en dehors des périodes de chasse. Dans l’année la Prévoyante fait quatre lâchers de tir, essentiellement de faisans et des perdreaux adultes. Le premier a eu lieu la veille de l’ouverture et les trois autres sont programmés les 2 octobre, 1er novembre et 11 décembre.
Yves Tardieu
Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005« C’est la première fois que je célèbre un mariage sur la place devant la mairie ! » s'exclamait Jean Louis Vollot en introduction à cette cérémonie de mariage peu habituelle.
Yvon Manela et Dominique Morel avaient en effet choisi ce lieu pour permettre à leurs nombreux parents et amis d’assister à l’évènement.
Tous deux psychiatres à Paris, ils ont préféré s’unir à Villedieu, village où ils résident le plus souvent possible dès que leur profession le leur permet.
En présence de leurs témoins, Tito et Nicole Topin et de Josette et Claude Avram, ils ont échangé leurs alliances avant d’offrir à la nombreuse assemblée le verre de l’amitié sur la place du village.
La pluie a eu la délicatesse d’attendre le début de la soirée pour s’inviter à la noce !
Aux novis, tous nos vœux de bonheur !
Yvon Manela et Dominique Morel avaient en effet choisi ce lieu pour permettre à leurs nombreux parents et amis d’assister à l’évènement.
Tous deux psychiatres à Paris, ils ont préféré s’unir à Villedieu, village où ils résident le plus souvent possible dès que leur profession le leur permet.
En présence de leurs témoins, Tito et Nicole Topin et de Josette et Claude Avram, ils ont échangé leurs alliances avant d’offrir à la nombreuse assemblée le verre de l’amitié sur la place du village.
La pluie a eu la délicatesse d’attendre le début de la soirée pour s’inviter à la noce !
Aux novis, tous nos vœux de bonheur !
Armelle Dénéréaz
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005La commune de Buisson a participé cette année pour la première fois au concours des villages fleuris organisé par le Comité de tourisme de Vaucluse qui regrette cependant le peu de communes du Haut Vaucluse participant à ce concours.
A ce titre, Buisson a obtenu le 3e prix dans la catégorie des communes de moins de 500 habitants.
« Ce prix récompense autant l’effort de chacun pour fleurir le village que la propreté des rues, l’effort en matière d’enfouissement des câbles et autres antennes inesthétiques, en matière de tri sélectif, de réfection de façade, de valorisation du patrimoine. Tout autant que les élus, les habitants sont récompensés et encouragés par l’obtention de ce prix », se félicite Liliane Blanc, maire du village.
« Le village est l’affaire de tous et je tiens à remercier ceux qui ont activement participé à ce résultat, même les enfants. Chacun à sa façon s’est mobilisé pour le meilleur et le résultat est ce prix d’encouragement pour continuer dans cette voie. Les idées sont les bienvenues pour l’année prochaine ».
Ce n’est pas seulement ce concours qui a permis d’avoir un beau village. Depuis longtemps déjà, l’on peut admirer à Buisson des balcons fleuris et autres ruelles qui ne manquent pas de charme par leurs façades fleuries et les petits bancs coquets qui invitent à la pause et au bavardage.
A ce titre, Buisson a obtenu le 3e prix dans la catégorie des communes de moins de 500 habitants.
« Ce prix récompense autant l’effort de chacun pour fleurir le village que la propreté des rues, l’effort en matière d’enfouissement des câbles et autres antennes inesthétiques, en matière de tri sélectif, de réfection de façade, de valorisation du patrimoine. Tout autant que les élus, les habitants sont récompensés et encouragés par l’obtention de ce prix », se félicite Liliane Blanc, maire du village.
« Le village est l’affaire de tous et je tiens à remercier ceux qui ont activement participé à ce résultat, même les enfants. Chacun à sa façon s’est mobilisé pour le meilleur et le résultat est ce prix d’encouragement pour continuer dans cette voie. Les idées sont les bienvenues pour l’année prochaine ».
Ce n’est pas seulement ce concours qui a permis d’avoir un beau village. Depuis longtemps déjà, l’on peut admirer à Buisson des balcons fleuris et autres ruelles qui ne manquent pas de charme par leurs façades fleuries et les petits bancs coquets qui invitent à la pause et au bavardage.
Armelle Dénéréaz
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Lina Blanc
Lina Blanc n’est plus ; elle a quitté ce monde un jour d’été, discrète comme l’avait été sa vie.
Au Palis, sa maison est toujours ouverte et aussi fleurie, Claire continue ainsi à maintenir sa présence. Théo, lui, s’occupe des poules et du chat qui semblent attendre le retour de leur maîtresse.
Arrivée d’Allemagne avec son mari à la fin de la guerre, moment particulièrement difficile pour elle, Lina a su par son travail et son bon sens se faire reconnaître de tous.
Aujourd’hui, ses enfants sont installés dans notre région. A son mari, ses enfants, ses petits-enfants, nous exprimons notre sympathie en ce moment pénible.
Au Palis, sa maison est toujours ouverte et aussi fleurie, Claire continue ainsi à maintenir sa présence. Théo, lui, s’occupe des poules et du chat qui semblent attendre le retour de leur maîtresse.
Arrivée d’Allemagne avec son mari à la fin de la guerre, moment particulièrement difficile pour elle, Lina a su par son travail et son bon sens se faire reconnaître de tous.
Aujourd’hui, ses enfants sont installés dans notre région. A son mari, ses enfants, ses petits-enfants, nous exprimons notre sympathie en ce moment pénible.
Brigitte Rochas
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Le Caleù avait donné rendez-vous à tous les amateurs de tradition dans la cour de Bibi le samedi 30 juillet pour la 20è année consécutive.
En l’absence des chevaux, un tracteur Vierzon de 1962, appartenant à Maurice Bompard de “Rétro Ventoux véhicules” à Malaucène, fournissait l’énergie nécessaire au fonctionnement de la batteuse (de 1944), propriété de M. Chanu.
La foule était nombreuse et on pouvait reconnaître parmi les acteurs Bibi et Gérald. Les danses folkloriques liées à la moisson venaient ensuite ; de généreux applaudissements récompensaient les différentes prestations. Autour du repas du moissonneur : omelette froide, côte d’agneau grillée, salade, fromage, fruit et glace, sans oublier le vin et le café, les conversations allaient bon train alors que la musique et le vent se faisaient concurrence en fin de soirée.
Merci à Paulette Mathieu et son équipe pour l’organisation ; merci aussi à Colette et Bibi pour leur accueil et leur disponibilité.
En l’absence des chevaux, un tracteur Vierzon de 1962, appartenant à Maurice Bompard de “Rétro Ventoux véhicules” à Malaucène, fournissait l’énergie nécessaire au fonctionnement de la batteuse (de 1944), propriété de M. Chanu.
La foule était nombreuse et on pouvait reconnaître parmi les acteurs Bibi et Gérald. Les danses folkloriques liées à la moisson venaient ensuite ; de généreux applaudissements récompensaient les différentes prestations. Autour du repas du moissonneur : omelette froide, côte d’agneau grillée, salade, fromage, fruit et glace, sans oublier le vin et le café, les conversations allaient bon train alors que la musique et le vent se faisaient concurrence en fin de soirée.
Merci à Paulette Mathieu et son équipe pour l’organisation ; merci aussi à Colette et Bibi pour leur accueil et leur disponibilité.
Brigitte Rochas
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Une campagne nationale est en cours pour le dépistage du cancer du sein. La commune a reçu de la préfecture cet avis.
Le cancer du sein est un fléau qui touche plus de 40 000 nouvelles Françaises chaque année. Il représente la 1e cause de mortalité prématurée par cancer chez la femme. Il apparait même souvent, à vos yeux, plus fréquent en affectant un membre de votre famille ou de votre entourage. Pourtant, un geste simple peut vous aider : la mammographie de dépistage. Entre 50 et 74 ans, cet examen des seins pratiqué chez le radiologue de votre choix offre de nombreux avantages :
- il est pris en charge à 100% par votre organisme de sécurité sociale,
- il correspond à un véritable examen des seins avec un interrogatoire sur vos antécédents, une palpation des seins et les clichés radiologiques (si besoin une échographie est remboursée par les mutuelles),
- il est fait par des professionnels dont la qualité et la qualification ont été attestées, qui travaillent avec un personnel formé et dont le matériel est vérifié deux fois par an,
- le radiologue qui pratique l’examen vous fournit immédiatement les conclusions de votre mammographie, puis il adresse les clichés à notre structure de gestion ou un 2è radiologue donne aussi son opinion.
Grâce à cette mammographie de dépistage, nous pouvons espérer faire baisser la mortalité et améliorer la qualité de vie des femmes. Ceci ne peut être vrai que si toutes les femmes de 50 à 74 ans participent à cette vaste action de santé publique.
Parlez-en à votre médecin.
Pour toute information, vous pouvez vous adresser à :
l’Association pour le dépistage des cancers en Vaucluse (ADCA 84), immeuble convergence, 50 rue Bertie Albrecht, 84000 Avignon ou à son médecin coordinateur, C.P. Gautier, même adresse postale et adresse électronique : cl.gautier-adca84@magic.fr.
Le cancer du sein est un fléau qui touche plus de 40 000 nouvelles Françaises chaque année. Il représente la 1e cause de mortalité prématurée par cancer chez la femme. Il apparait même souvent, à vos yeux, plus fréquent en affectant un membre de votre famille ou de votre entourage. Pourtant, un geste simple peut vous aider : la mammographie de dépistage. Entre 50 et 74 ans, cet examen des seins pratiqué chez le radiologue de votre choix offre de nombreux avantages :
- il est pris en charge à 100% par votre organisme de sécurité sociale,
- il correspond à un véritable examen des seins avec un interrogatoire sur vos antécédents, une palpation des seins et les clichés radiologiques (si besoin une échographie est remboursée par les mutuelles),
- il est fait par des professionnels dont la qualité et la qualification ont été attestées, qui travaillent avec un personnel formé et dont le matériel est vérifié deux fois par an,
- le radiologue qui pratique l’examen vous fournit immédiatement les conclusions de votre mammographie, puis il adresse les clichés à notre structure de gestion ou un 2è radiologue donne aussi son opinion.
Grâce à cette mammographie de dépistage, nous pouvons espérer faire baisser la mortalité et améliorer la qualité de vie des femmes. Ceci ne peut être vrai que si toutes les femmes de 50 à 74 ans participent à cette vaste action de santé publique.
Parlez-en à votre médecin.
Pour toute information, vous pouvez vous adresser à :
l’Association pour le dépistage des cancers en Vaucluse (ADCA 84), immeuble convergence, 50 rue Bertie Albrecht, 84000 Avignon ou à son médecin coordinateur, C.P. Gautier, même adresse postale et adresse électronique : cl.gautier-adca84@magic.fr.
Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Chose promise chose due ! La Gazette s’étant attachée à retracer en images l’évolution du René des origines à nos jours, voilà un stade intermédiaire entre le blondinet du dernier numéro et le Kermann d’aujourd’hui. A vue de nez, on doit pouvoir dater ce document unique de la fin des années 60. La Gazette invite ses lecteurs qui n’ont pas la couleur à feuilleter l’exemplaire du bar pour bénéficier du décor (nature en fleur) et du pull over (rouge).
Toujours à la recherche de l’excellence, La Gazette s’est également attachée à approfondir la question du poil et de la barbe par une recherche historique sérieuse et exhaustive. Ainsi, dans « De la barbe et des moustaches » publié par Eugène Dulac en 1842 aux éditions Charles Lachapelle on peut lire :
« A partir de l’antiquité la plus reculée jusqu’à nos jours, la BARBE a été considérée comme très agréable à Dieu, et comme très recommandable aux yeux des femmes. Elle plaît à Dieu, parce que suivant l’avis des théologiens barbus ce fut surtout en copiant sa barbe, que Dieu fit l’homme à son image. [...] La barbe est recommandable aux yeux des femmes : parce que, d’après leur propre expérience, bien plus encore que d’après l’assertion des naturalistes, qu’elles lisent peu, elles savent que le germe de la barbe est le même que celui de l’amour ; et qu’il n’a jamais existé d’hommes barbus parmi les gardiens mutilés des sérails non plus que parmi les eunuques chanteurs de l’Italie. »
Alors la question est posée : quelle barbe villadéenne a une vocation ayatollesque et laquelle a une vocation séductrice ?
Toujours à la recherche de l’excellence, La Gazette s’est également attachée à approfondir la question du poil et de la barbe par une recherche historique sérieuse et exhaustive. Ainsi, dans « De la barbe et des moustaches » publié par Eugène Dulac en 1842 aux éditions Charles Lachapelle on peut lire :
« A partir de l’antiquité la plus reculée jusqu’à nos jours, la BARBE a été considérée comme très agréable à Dieu, et comme très recommandable aux yeux des femmes. Elle plaît à Dieu, parce que suivant l’avis des théologiens barbus ce fut surtout en copiant sa barbe, que Dieu fit l’homme à son image. [...] La barbe est recommandable aux yeux des femmes : parce que, d’après leur propre expérience, bien plus encore que d’après l’assertion des naturalistes, qu’elles lisent peu, elles savent que le germe de la barbe est le même que celui de l’amour ; et qu’il n’a jamais existé d’hommes barbus parmi les gardiens mutilés des sérails non plus que parmi les eunuques chanteurs de l’Italie. »
Alors la question est posée : quelle barbe villadéenne a une vocation ayatollesque et laquelle a une vocation séductrice ?
Yves Tardieu
René Kermann
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005L’aventure du livre de Tao continue.
On voit ici l’équipe (Marie Gresa, Stéphane Lebras, Mylos, Anne Kastens et Frédo, Rébecca Laparhasar, Lionel Thinque) à la fête du livre de Sablet le 22 juillet.
Ce petit livre continue son voyage. Il servira de support de cours en arts appliqués au lycée Saint Joseph d’Avignon. Il poursuivra sa route à la 6ème biennale du Carnet de voyage de Clermont-Ferrand du 19 au 21 novembre 2005.
Avec le livre, le film documentaire tourné pendant la réalisation de l’ouvrage se finalise et sera projeté dans divers lieux.
Des nouvelles bientôt...
On voit ici l’équipe (Marie Gresa, Stéphane Lebras, Mylos, Anne Kastens et Frédo, Rébecca Laparhasar, Lionel Thinque) à la fête du livre de Sablet le 22 juillet.
Ce petit livre continue son voyage. Il servira de support de cours en arts appliqués au lycée Saint Joseph d’Avignon. Il poursuivra sa route à la 6ème biennale du Carnet de voyage de Clermont-Ferrand du 19 au 21 novembre 2005.
Avec le livre, le film documentaire tourné pendant la réalisation de l’ouvrage se finalise et sera projeté dans divers lieux.
Des nouvelles bientôt...
Armelle Dénéréaz
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005La prochaine fois que vous aurez un heureux événement à fêter, ou simplement pour le plaisir, prenez la direction des Pilles, quelques kilomètres après Nyons, le long de l'Eygues ("Eygues" avec un "E" selon l'orthographe en usage chez nos amis drômois)... Juste à la sortie du tunnel, sur la droite, vous trouverez "La Fleur de Thym", un restaurant "gastronomique" qui, parole de gourmand, mérite largement ce qualificatif.
En fonction du temps, vous déjeunerez ou dînerez sur une terrasse ombragée, près d'une fontaine murale très originale, ou dans une salle décorée avec beaucoup de goût, confortablement installés autour d'une table chaleureuse et agréablement nappée.
Vous aurez le choix parmi quatre menus (de 28 à 50 €) ou vous pourrez déguster un ou plusieurs plats à la carte.
A titre d'exemple, voici ma description du menu "Balade des Moulins" (38 €), un festival de saveurs, de couleurs et d'odeurs qui commence par un délicieux entremets froid et frais, à la carotte, assorti d'une pointe de crème fraîche. A noter qu'il s'agit là d'une mise en bouche surprise.
Le premier plat laisse pantois : Gambas grillées à la noix de muscade accompagnées d'un velouté de brocolis et choux fleurs en chantilly ; un régal superbement présenté avec des gambas que l'on peut manger, contrairement à la coutume, sans s'en "coller" plein les doigts. La couleur vert-tendre du velouté, servi dans un verre, envoûte le regard autant qu'elle ouvre l'appétit.
La seconde assiette peut laisser perplexe : Pavé de saumon doré sur peau avec compotée d'abricots et jus de caramel au sel de Guérande ; je vois d'ici s'afficher la grimace crispée des ennemis du sucré-salé (dont je fais habituellement partie)... Eh bien détrompez-vous, cet improbable mariage s'avère remarquablement fin et savoureux... J'en profite pour ouvrir une petite parenthèse tout à fait à propos (vous pouvez déguster depuis cet été, au célèbre et non moins excellent restaurant Mosaïk à Vaison, une délicieuse glace "caramel à la fleur de sel" dont vous me direz des nouvelles...).
Mais revenons aux Pilles pour y goûter le troisième plat de notre menu : Côtes d’agneau de lait rôties au pistou avec un tian de légumes gratinés et une brochette de Belle de Fontenay. Comme disait Fernand, un bon ami belge malheureusement disparu : "On dirait qu'un ange te pisse dans la bouche...". Je ne trouve pas image plus juste pour exprimer le sentiment que procure ce plat divin. Une viande remarquablement tendre, cuite comme il se doit... Un Tian digne des meilleures ratatouilles de nos grand-mères. Seul petit bémol : la brochette de Belle de Fontenay, réduite à sa plus simple expression (deux demi-tranches fines de pomme de terre enfilées sur une tige en bois), a tendance à faire sourire.
Mais la "chicherie" de la brochette est vite oubliée quand on voit arriver le chariot de fromages d'ici et d'ailleurs qui nous fait voyager avec bonheur aux quatre coins de notre belle France... Munster, Camembert au Calvados, picodons, brebis, bleus, etc... On ne sait que choisir parmi ces fromages pour la plupart affinés dans les caves de "Lou Canesteou", l'excellent fromager de la rue Raspail à Vaison.
Après le fromage, un fabuleux dessert : Marmelade de fruits exotiques aux épices, avec un cône croustillant à la banane verte et un petit cocktail frappé aux fraises et betterave... La marmelade s'avère très revigorante grâce au gingembre qu'elle contient, le cône maison est croustillant et léger, le cocktail frappé rafraîchit agréablement cette fin de repas... Les amateurs de café ne seront pas déçus... Autour de la traditionnelle tasse sont disposés : un petit pot de crème, une tuile et une madeleine maison, bien agréables à déguster le temps de régler l'addition.
N'oublions pas la carte des vins : elle comprend une centaine de références de vins régionaux, de côteaux des Baronnies en passant par les crus méridionaux et septentrionaux. Il y en a pour tous les goûts...
Ne croyez surtout pas, malgré cette impressionnante liste de mets variés, que vous allez "exploser en vol"... Pas du tout... Les quantités servies pour chaque plat sont tout à fait raisonnables et vous arriverez léger et content à la fin de ce moment de plaisir gourmand.
La Fleur de Thym – Le Village – 26110 Les Pilles. 04.75.27.77.91.
www.restaurantlafleurdethym.com
En fonction du temps, vous déjeunerez ou dînerez sur une terrasse ombragée, près d'une fontaine murale très originale, ou dans une salle décorée avec beaucoup de goût, confortablement installés autour d'une table chaleureuse et agréablement nappée.
Vous aurez le choix parmi quatre menus (de 28 à 50 €) ou vous pourrez déguster un ou plusieurs plats à la carte.
A titre d'exemple, voici ma description du menu "Balade des Moulins" (38 €), un festival de saveurs, de couleurs et d'odeurs qui commence par un délicieux entremets froid et frais, à la carotte, assorti d'une pointe de crème fraîche. A noter qu'il s'agit là d'une mise en bouche surprise.
Le premier plat laisse pantois : Gambas grillées à la noix de muscade accompagnées d'un velouté de brocolis et choux fleurs en chantilly ; un régal superbement présenté avec des gambas que l'on peut manger, contrairement à la coutume, sans s'en "coller" plein les doigts. La couleur vert-tendre du velouté, servi dans un verre, envoûte le regard autant qu'elle ouvre l'appétit.
La seconde assiette peut laisser perplexe : Pavé de saumon doré sur peau avec compotée d'abricots et jus de caramel au sel de Guérande ; je vois d'ici s'afficher la grimace crispée des ennemis du sucré-salé (dont je fais habituellement partie)... Eh bien détrompez-vous, cet improbable mariage s'avère remarquablement fin et savoureux... J'en profite pour ouvrir une petite parenthèse tout à fait à propos (vous pouvez déguster depuis cet été, au célèbre et non moins excellent restaurant Mosaïk à Vaison, une délicieuse glace "caramel à la fleur de sel" dont vous me direz des nouvelles...).
Mais revenons aux Pilles pour y goûter le troisième plat de notre menu : Côtes d’agneau de lait rôties au pistou avec un tian de légumes gratinés et une brochette de Belle de Fontenay. Comme disait Fernand, un bon ami belge malheureusement disparu : "On dirait qu'un ange te pisse dans la bouche...". Je ne trouve pas image plus juste pour exprimer le sentiment que procure ce plat divin. Une viande remarquablement tendre, cuite comme il se doit... Un Tian digne des meilleures ratatouilles de nos grand-mères. Seul petit bémol : la brochette de Belle de Fontenay, réduite à sa plus simple expression (deux demi-tranches fines de pomme de terre enfilées sur une tige en bois), a tendance à faire sourire.
Mais la "chicherie" de la brochette est vite oubliée quand on voit arriver le chariot de fromages d'ici et d'ailleurs qui nous fait voyager avec bonheur aux quatre coins de notre belle France... Munster, Camembert au Calvados, picodons, brebis, bleus, etc... On ne sait que choisir parmi ces fromages pour la plupart affinés dans les caves de "Lou Canesteou", l'excellent fromager de la rue Raspail à Vaison.
Après le fromage, un fabuleux dessert : Marmelade de fruits exotiques aux épices, avec un cône croustillant à la banane verte et un petit cocktail frappé aux fraises et betterave... La marmelade s'avère très revigorante grâce au gingembre qu'elle contient, le cône maison est croustillant et léger, le cocktail frappé rafraîchit agréablement cette fin de repas... Les amateurs de café ne seront pas déçus... Autour de la traditionnelle tasse sont disposés : un petit pot de crème, une tuile et une madeleine maison, bien agréables à déguster le temps de régler l'addition.
N'oublions pas la carte des vins : elle comprend une centaine de références de vins régionaux, de côteaux des Baronnies en passant par les crus méridionaux et septentrionaux. Il y en a pour tous les goûts...
Ne croyez surtout pas, malgré cette impressionnante liste de mets variés, que vous allez "exploser en vol"... Pas du tout... Les quantités servies pour chaque plat sont tout à fait raisonnables et vous arriverez léger et content à la fin de ce moment de plaisir gourmand.
La Fleur de Thym – Le Village – 26110 Les Pilles. 04.75.27.77.91.
www.restaurantlafleurdethym.com
Olivier Sac
Cliquez sur l'illustration
pour visiter le site
du restaurant
Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Comme on peut le constater en lisant la Gazette nombreux sont ceux qui aiment lire et même écrire des livres dans ce village. Pour satisfaire ce besoin de lecture point n’est besoin d’aller très loin. Bibliothèques locales ou départementales, librairies ou bouquinistes, FNAC ou autres supermarchés du livre offrent de quoi assouvir ses besoins de lectures. Sans compter la journée du livre de Sablet, mine d’or pour le lecteur invétéré, qui permet de découvrir un vaste choix d’ouvrages parfois peu diffusés.
Et pourtant il est un lieu que j’ai découvert cet été lors d’une balade en famille sur le plateau de Sault dans un petit village connu pour son célèbre fromage : Banon.
Au coeur du village, une belle maison ouvre ses portes au visiteur curieux attiré par une sculpture en bois qui symbolise une immense pile de livres prête à s’effondrer sous le nombre de tomes entassés. On pénètre dans une première pièce où une caissière est déjà ensevelie sous des amas de volumes prêts à être payés et emportés. La curiosité nous pousse alors plus loin et un dédale de pièces apparaît soudain au détour d’une étagère en pin chargée d’attirants livres de voyages et petit à petit des collections entières apparaissent, la Pléiade en bonne place côtoie les essais philosophiques, les polars et autres collections de poche n’ont rien en envier aux grands ouvrages d’art. Les auteurs, français et étrangers, classiques ou contemporains, connus et surtout moins connus, chacun trouve sa place de A à Z sans oublier les bandes dessinées, les livres pour la jeunesse, de cuisine, de jardinage, de psycho, de socio, d’histoire, de politique, les derniers prix littéraires... Tout y est et j’en oublie.
Pas le temps de tout voir ! Depuis 16 ans le propriétaire des lieux, un fondu de livres, a acquis cette maison et petit à petit retape les maisons voisines pour agrandir son échoppe. « Dans 7 ans j’aurai fini ! » dit ce personnage pressé, occupé à renseigner un des nombreux clients ou à chercher un ouvrage caché derrière un vieux piano qui trône au beau milieu des rayonnages.
Cette librairie hors du commun est belle, même très belle. On se sent à la maison ou chez des amis qui ont aménagé leurs pièces pour le plaisir de déambuler de la cave au grenier dans cet univers merveilleux d’où l’on a du mal à s’arracher. On doit venir ici pour le plaisir de se noyer dans les livres.
Un point de chute indispensable à découvrir lors d’une excursion dans ce coin reculé aux confins du Vaucluse et des Alpes-de-Haute-Provence qui fleure bon la lavande en été ou le champignon à l’automne.
Et pourtant il est un lieu que j’ai découvert cet été lors d’une balade en famille sur le plateau de Sault dans un petit village connu pour son célèbre fromage : Banon.
Au coeur du village, une belle maison ouvre ses portes au visiteur curieux attiré par une sculpture en bois qui symbolise une immense pile de livres prête à s’effondrer sous le nombre de tomes entassés. On pénètre dans une première pièce où une caissière est déjà ensevelie sous des amas de volumes prêts à être payés et emportés. La curiosité nous pousse alors plus loin et un dédale de pièces apparaît soudain au détour d’une étagère en pin chargée d’attirants livres de voyages et petit à petit des collections entières apparaissent, la Pléiade en bonne place côtoie les essais philosophiques, les polars et autres collections de poche n’ont rien en envier aux grands ouvrages d’art. Les auteurs, français et étrangers, classiques ou contemporains, connus et surtout moins connus, chacun trouve sa place de A à Z sans oublier les bandes dessinées, les livres pour la jeunesse, de cuisine, de jardinage, de psycho, de socio, d’histoire, de politique, les derniers prix littéraires... Tout y est et j’en oublie.
Pas le temps de tout voir ! Depuis 16 ans le propriétaire des lieux, un fondu de livres, a acquis cette maison et petit à petit retape les maisons voisines pour agrandir son échoppe. « Dans 7 ans j’aurai fini ! » dit ce personnage pressé, occupé à renseigner un des nombreux clients ou à chercher un ouvrage caché derrière un vieux piano qui trône au beau milieu des rayonnages.
Cette librairie hors du commun est belle, même très belle. On se sent à la maison ou chez des amis qui ont aménagé leurs pièces pour le plaisir de déambuler de la cave au grenier dans cet univers merveilleux d’où l’on a du mal à s’arracher. On doit venir ici pour le plaisir de se noyer dans les livres.
Un point de chute indispensable à découvrir lors d’une excursion dans ce coin reculé aux confins du Vaucluse et des Alpes-de-Haute-Provence qui fleure bon la lavande en été ou le champignon à l’automne.
Armelle Dénéréaz
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Pour économiser le fuel, le gaz ou l’électricité, pour diminuer les rejets de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, sans changer notre confort de vie quotidienne, adoptons les énergies renouvelables !
Simple, facile, et techniquement éprouvé : le chauffe-eau solaire.
Merveilleusement adapté à notre région ensoleillée, il fournit 60 à 80 % de nos besoins d’eau chaude sanitaire !
Et oh miracle, le département du Vaucluse, la région PACA et l’Etat conscients de la nécessité de nous encourager à franchir le pas, aident financièrement l’installation d’un chauffe-eau solaire, que la maison soit neuve ou non !
Pour une famille de 3 à 4 personnes, un ballon de 200 à 300 l d’eau est nécessaire. Cette eau sera chauffée par 4 à 5 m2 de capteurs solaires fixés sur le toit de la maison (orientation sud, sud-est ou sud-ouest).
Comptez 5 300 € à 6 500 € ttc, matériel et pose, selon le matériel et la complexité du système.
Aides financières : 700 € de la Région PACA, 350 € du Département du Vaucluse, plus un crédit d’impôt de 40 % du prix ttc du matériel, subventions déduites au prorata du coût du matériel, soit environ 45 % d’aides au total !
Pour bénéficier de ces aides le propriétaire fera appel à un installateur agréé Qualisol.
Pour avoir la listes des installateurs Qualisol les plus proches de votre habitation, pour savoir comment obtenir les aides financières, pour tout comprendre sur le chauffe-eau solaire et dimensionner le vôtre adressez-vous à :
Espace info énergie du Haut Vaucluse, avenue Gabriel Péri, 84110 Vaison la Romaine.
Tél : 04 90 36 39 16, permanence le mercredi matin dans les locaux de la Copavo.
Informations et conseils gratuits !
Simple, facile, et techniquement éprouvé : le chauffe-eau solaire.
Merveilleusement adapté à notre région ensoleillée, il fournit 60 à 80 % de nos besoins d’eau chaude sanitaire !
Et oh miracle, le département du Vaucluse, la région PACA et l’Etat conscients de la nécessité de nous encourager à franchir le pas, aident financièrement l’installation d’un chauffe-eau solaire, que la maison soit neuve ou non !
Pour une famille de 3 à 4 personnes, un ballon de 200 à 300 l d’eau est nécessaire. Cette eau sera chauffée par 4 à 5 m2 de capteurs solaires fixés sur le toit de la maison (orientation sud, sud-est ou sud-ouest).
Comptez 5 300 € à 6 500 € ttc, matériel et pose, selon le matériel et la complexité du système.
Aides financières : 700 € de la Région PACA, 350 € du Département du Vaucluse, plus un crédit d’impôt de 40 % du prix ttc du matériel, subventions déduites au prorata du coût du matériel, soit environ 45 % d’aides au total !
Pour bénéficier de ces aides le propriétaire fera appel à un installateur agréé Qualisol.
Pour avoir la listes des installateurs Qualisol les plus proches de votre habitation, pour savoir comment obtenir les aides financières, pour tout comprendre sur le chauffe-eau solaire et dimensionner le vôtre adressez-vous à :
Espace info énergie du Haut Vaucluse, avenue Gabriel Péri, 84110 Vaison la Romaine.
Tél : 04 90 36 39 16, permanence le mercredi matin dans les locaux de la Copavo.
Informations et conseils gratuits !
Catherine Bourgeois
Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Cette photo de Tito Topin (des années 70…) nous le montre installé devant sa vieille Underwood modèle 50 à l’image de David Goodis, un de ses maîtres du polar.
Naturellement, le progrès aidant, il l’a remplacée par un Macintosh modèle 2000 dont il fait cadeau à la Gazette pour lui permettre de réaliser, encore mieux et beaucoup plus confortablement, son journal bimestriel (ou presque).
Notre plus cher souhait serait que ce Mac G4 ait gardé dans son disque dur la mémoire de l’écriture imagée, originale et drôle de son ancien propriétaire et en imprègne nos articles…
Tito, un grand merci de la part de toute l’équipe des Gazetteux.
Naturellement, le progrès aidant, il l’a remplacée par un Macintosh modèle 2000 dont il fait cadeau à la Gazette pour lui permettre de réaliser, encore mieux et beaucoup plus confortablement, son journal bimestriel (ou presque).
Notre plus cher souhait serait que ce Mac G4 ait gardé dans son disque dur la mémoire de l’écriture imagée, originale et drôle de son ancien propriétaire et en imprègne nos articles…
Tito, un grand merci de la part de toute l’équipe des Gazetteux.
Claude Bériot
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Retour au sommaire 2005, fin d'été et rentrée... Retour au sommaire Éphéméride 2005Défi téléthon 2005 les 3 et 4 décembre.
L’association "Buisson Loisirs et Fêtes" a remporté un vif succès pour le téléthon 2004 avec son défi « les rubans de l’espoir ». 360 euros ont pu être récoltés en huit jours sur le village. Nous avons donc décidé de mettre en place cette opération sur une plus grande échelle : relier Buisson à Villedieu.
Le comité des fêtes de Villedieu ainsi que la Ramade ont décidé de se joindre à nous. Nous pouvons donc commencer l’aventure. Nous aurons cette année le soutien de l’A.F.M. (Association Française contre les Maladies Génétiques et la Myopathie) avec qui nous signerons un contrat d’engagement car cette année le Vaucluse sera à l’honneur avec la présence, à Vaison-la-Romaine, de France Télévision. Toutes les actions qui seront menées sur le secteur pourront bénéficier d’un soutien publicitaire via la presse et les radios.
4 000 rubans de 1,30 mètre sont nécessaires pour parcourir les 3 km 500 séparant Buisson de Villedieu par le chemin dit « la traverse ». Nous avons à ce jour 2 200 rubans coupés, nous vous sollicitons pour de vieux draps, rideaux de coton, nappes… à déposer auprès des personnes suivantes : Mesdames Bouchet, Chèze, Puigmal ou Decarpenti, à la Ramade, ainsi que dans les mairies. Les rubans sont dès à présent vendus 50 centimes l’unité. Nous comptons sur vous pour que ce formidable défi se concrétise. Les rubans que vous aurez généreusement achetés seront noués et gardés au fur et à mesure par les bénévoles, puis déroulés le jour « J ».
Départ de la fontaine de chaque village pour un rendez-vous à Notre Dame d’Argelier pour le final.
L’association "Buisson Loisirs et Fêtes" a remporté un vif succès pour le téléthon 2004 avec son défi « les rubans de l’espoir ». 360 euros ont pu être récoltés en huit jours sur le village. Nous avons donc décidé de mettre en place cette opération sur une plus grande échelle : relier Buisson à Villedieu.
Le comité des fêtes de Villedieu ainsi que la Ramade ont décidé de se joindre à nous. Nous pouvons donc commencer l’aventure. Nous aurons cette année le soutien de l’A.F.M. (Association Française contre les Maladies Génétiques et la Myopathie) avec qui nous signerons un contrat d’engagement car cette année le Vaucluse sera à l’honneur avec la présence, à Vaison-la-Romaine, de France Télévision. Toutes les actions qui seront menées sur le secteur pourront bénéficier d’un soutien publicitaire via la presse et les radios.
4 000 rubans de 1,30 mètre sont nécessaires pour parcourir les 3 km 500 séparant Buisson de Villedieu par le chemin dit « la traverse ». Nous avons à ce jour 2 200 rubans coupés, nous vous sollicitons pour de vieux draps, rideaux de coton, nappes… à déposer auprès des personnes suivantes : Mesdames Bouchet, Chèze, Puigmal ou Decarpenti, à la Ramade, ainsi que dans les mairies. Les rubans sont dès à présent vendus 50 centimes l’unité. Nous comptons sur vous pour que ce formidable défi se concrétise. Les rubans que vous aurez généreusement achetés seront noués et gardés au fur et à mesure par les bénévoles, puis déroulés le jour « J ».
Départ de la fontaine de chaque village pour un rendez-vous à Notre Dame d’Argelier pour le final.
L’association Buisson Loisirs et fêtes,
le Comité des fêtes de Villedieu
et la Ramade!
le Comité des fêtes de Villedieu
et la Ramade!
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