Éphéméride : 2006, hiver...
- La Pastorale à Villedieu
- Côté Libre
- Les confiseries de Noël de Majo
- Le comité des fêtes
- Le repas des Aînés
- Médaillée
- Jean Marcellin à l'école du Palis
- Buisson :
• « O ! Water ! » ... bis
• Expo de Noël
• Côté libre à Buisson
• Mairie info !
• Festival des soupes
• Le Père Noël est passé à Buisson
- A méditer à l'aube de cette nouvelle année
- Le Billet
Le dimanche 7 janvier, à 14h30, la Gazette s'associe une nouvelle fois au Club des Aînés pour présenter à la salle des fêtes la Pastorale Maurel.
Ce spectacle s’incrit dans la pure tradition régionale : L'Escolo de la Nerto, au grand complet, viendra pour nous faire revivre ou faire découvrir aux plus jeunes la Pastorale. On y retrouve tous les personnages de la crèche. C'est ainsi que le berger Micoulau est le premier à entendre les chants célestes et à réveiller ses deux amis bergers. Un ange apparaît, il apporte une nouvelle extraordinaire :
« Celui que l'Eternel promit à vos aïeux, pour naître parmi vous est descendu des cieux. »
Stupéfaits, nos trois bergers apprennent la nouvelle à leurs voisins qui décident de prévenir tout le village et de partir pour Bethléem.
Le petit village se met en marche. Nous verrons alors défiler les personnages les plus typiques de ces temps anciens. Chacun raconte ses joies, ses peines, ses espoirs ou ses craintes face à l'enfant qui est né. Tout au long du spectacle nous aurons ainsi le plaisir de découvrir des caractères très marqués comme celui du meunier, du rémouleur, du ravi, du boumian, de Roustido, vieux célibataire endurci, du petit Tounin, de Jourdan le bouniasse, de Pistachié, de Jiget et bien d'autres encore qui tour à tour se mettront en route pour Bethléem.
L’auteur a dépeint les caractères des braves gens de son temps, avec leurs petits défauts. Une route émaillée de rencontres et d'aventures, le tout joué avec brio par la troupe de la Nerto composée de 35 artistes chevronnés.
Buvette et nombreuses gourmandises agrémenteront l’après-midi .
Venez nombreux assister à cette pastorale qui dans la tradition de Noël en Provence clôturera agréablement les fêtes.
Prix d’entrée 9 euros.
Renseignements et réservations au 04 90 28 92 63
Ce spectacle s’incrit dans la pure tradition régionale : L'Escolo de la Nerto, au grand complet, viendra pour nous faire revivre ou faire découvrir aux plus jeunes la Pastorale. On y retrouve tous les personnages de la crèche. C'est ainsi que le berger Micoulau est le premier à entendre les chants célestes et à réveiller ses deux amis bergers. Un ange apparaît, il apporte une nouvelle extraordinaire :
« Celui que l'Eternel promit à vos aïeux, pour naître parmi vous est descendu des cieux. »
Stupéfaits, nos trois bergers apprennent la nouvelle à leurs voisins qui décident de prévenir tout le village et de partir pour Bethléem.
Le petit village se met en marche. Nous verrons alors défiler les personnages les plus typiques de ces temps anciens. Chacun raconte ses joies, ses peines, ses espoirs ou ses craintes face à l'enfant qui est né. Tout au long du spectacle nous aurons ainsi le plaisir de découvrir des caractères très marqués comme celui du meunier, du rémouleur, du ravi, du boumian, de Roustido, vieux célibataire endurci, du petit Tounin, de Jourdan le bouniasse, de Pistachié, de Jiget et bien d'autres encore qui tour à tour se mettront en route pour Bethléem.
L’auteur a dépeint les caractères des braves gens de son temps, avec leurs petits défauts. Une route émaillée de rencontres et d'aventures, le tout joué avec brio par la troupe de la Nerto composée de 35 artistes chevronnés.
Buvette et nombreuses gourmandises agrémenteront l’après-midi .
Venez nombreux assister à cette pastorale qui dans la tradition de Noël en Provence clôturera agréablement les fêtes.
Prix d’entrée 9 euros.
Renseignements et réservations au 04 90 28 92 63
Retour au sommaire 2006, automne... Retour au sommaire Éphéméride 2006C’est reparti ! Souvenons-nous... En 2002, Le Pen pleurait. Il n’allait pas avoir ses 500 signatures d’élus locaux, nécessaires à sa candidature pour les présidentielles. En 2006 rebelote, sauf que cette fois ci, il y a aussi Besancenot, Voynet, Villiers et d’autres encore qui sont dans cette situation.
Les résultats de 2001 expliquent cette prudence des maires et autres élus : pour beaucoup, le nombre trop élevé de candidats était responsable de la présence de Le Pen au second tour. Mais il y a visiblement d’autres raisons. Les grands partis donnent des consignes à leurs élus et celles ci ne sont pas favorables pour l’instant aux « petits candidats ».
Beaucoup de maires, sans étiquette ou sans carte, hésitent.. À un an de l’élection municipale ils craignent de se voir reprocher leur choix, surtout si celui ci est marqué à l’un ou l’autre des extrêmes. La dernière fois, la présidentielle était juste après les municipales et non juste avant...
Certains proposent que les noms des maires ne soient plus publiés (en réalité, ils ne le sont pas tous : dans la liste totale des parrains, 500 noms sont tirés au sort et publiés au Journal Officiel). C’est comme cela que nous avions su quel candidat Jean-Louis Vollot avait parrainé en 1995 et pas en 2002 - voir La Gazette n°10. Cette proposition est un peu bizarre, c’est comme si la démocratie devait se cacher. Parrainer n’est pas nécessairement soutenir... En 2002, beaucoup d’élus locaux avait affirmé le faire par le souci démocratique de permettre a des courants d’opinion minoritaires de s’exprimer. On peut tout à fait les croire et respecter ce choix.
Sinon, il faut se satisfaire de l’absence de représentation à l’élection de 40 à 50% des électeurs inscrits et votants et d’une montée de l’abstention. C’est pourquoi le citoyen doit accepter, me semble-t-il, le parrainage de son élu même s’il n’est pas d’accord avec le choix fait.
Les résultats de 2001 expliquent cette prudence des maires et autres élus : pour beaucoup, le nombre trop élevé de candidats était responsable de la présence de Le Pen au second tour. Mais il y a visiblement d’autres raisons. Les grands partis donnent des consignes à leurs élus et celles ci ne sont pas favorables pour l’instant aux « petits candidats ».
Beaucoup de maires, sans étiquette ou sans carte, hésitent.. À un an de l’élection municipale ils craignent de se voir reprocher leur choix, surtout si celui ci est marqué à l’un ou l’autre des extrêmes. La dernière fois, la présidentielle était juste après les municipales et non juste avant...
Certains proposent que les noms des maires ne soient plus publiés (en réalité, ils ne le sont pas tous : dans la liste totale des parrains, 500 noms sont tirés au sort et publiés au Journal Officiel). C’est comme cela que nous avions su quel candidat Jean-Louis Vollot avait parrainé en 1995 et pas en 2002 - voir La Gazette n°10. Cette proposition est un peu bizarre, c’est comme si la démocratie devait se cacher. Parrainer n’est pas nécessairement soutenir... En 2002, beaucoup d’élus locaux avait affirmé le faire par le souci démocratique de permettre a des courants d’opinion minoritaires de s’exprimer. On peut tout à fait les croire et respecter ce choix.
Sinon, il faut se satisfaire de l’absence de représentation à l’élection de 40 à 50% des électeurs inscrits et votants et d’une montée de l’abstention. C’est pourquoi le citoyen doit accepter, me semble-t-il, le parrainage de son élu même s’il n’est pas d’accord avec le choix fait.
Retour au sommaire 2006, automne... Retour au sommaire Éphéméride 2006Jeudi 14 décembre, nous nous sommes retrouvés à la Magnanarié, sous la houlette de Majo Raffin, pour confectionner des « confiseries de Noël » diverses et variées, toutes aussi délicieuses les unes que les autres.
Les effluves de caramel, de chocolat, d'amandes et de noisettes grillées, nous ont chatouillé les papilles tout le jour.
Chacun de nous a appris bien des secrets. Nous avons fourré des dattes avec de la pâte d'amande ou du chocolat, fabriqué de la nougatine, de la pâte de noix, etc. Toutes ces préparations faites maison, furent nappées de chocolat.
A 17 h, nous sommes repartis fiers et heureux avec une boîte bien remplie de nos œuvres. Un bel avant goût des gourmandises de Noël. Les gourmands que nous sommes, ont bien sûr trouvé que tout était bon.
Merci à Armelle de nous avoir prêté sa cuisine, à Yvan de nous avoir régalé à midi avec un grand plat de spaghetti et surtout à Majo pour sa patience et ses conseils avisés. Il ne reste plus qu'à mettre en pratique.
A quand le prochain cours de cuisine ?
Les effluves de caramel, de chocolat, d'amandes et de noisettes grillées, nous ont chatouillé les papilles tout le jour.
Chacun de nous a appris bien des secrets. Nous avons fourré des dattes avec de la pâte d'amande ou du chocolat, fabriqué de la nougatine, de la pâte de noix, etc. Toutes ces préparations faites maison, furent nappées de chocolat.
A 17 h, nous sommes repartis fiers et heureux avec une boîte bien remplie de nos œuvres. Un bel avant goût des gourmandises de Noël. Les gourmands que nous sommes, ont bien sûr trouvé que tout était bon.
Merci à Armelle de nous avoir prêté sa cuisine, à Yvan de nous avoir régalé à midi avec un grand plat de spaghetti et surtout à Majo pour sa patience et ses conseils avisés. Il ne reste plus qu'à mettre en pratique.
A quand le prochain cours de cuisine ?
Majo prépare ses ingrédients avant l’arrivée de ses stagiaires
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Retour au sommaire 2006, automne... Retour au sommaire Éphéméride 2006L’assemblée générale annuelle du comité des fêtes a eu lieu le lundi 11 décembre. Le bilan de l’année écoulée, présenté par le président Serge Bouchet, est positif même si le temps a pénalisé certaines de ses manifestations comme la soirée du 14 juillet. Le bilan financier présenté, de manière claire et exhaustive, par le trésorier Michel Muller, donne un bénéfice significatif. L’ensemble a été approuvé à l’unanimité par la petite vingtaine de personnes présentes.
Le renouvellement du bureau s’avérait, a priori, une tâche plus difficile, dans la mesure où il fallait pallier les départs simultanés du président et de sa secrétaire, Serge et Evelyne Bouchet. Il n’en fut rien dans la mesure où, assez vite, la candidature d’Yvan Raffin, déjà vice-président, ne souleva aucune objection. Annette Gros et Lionel Lazard entraient dans le conseil d’administration pendant que tous les autres membres étaient renouvelés. Sauf coup de théâtre de dernière minute, les postes au bureau étant théoriquement désignés par le conseil d’administration et non par l’assemblée générale, le comité des fêtes devrait avoir cette configuration qui sera complétée :
Président : Yvan Raffin
Trésorier : Michel Muller
Secrétaire : Marc Zeppari
Membres : Jean-Claude Adage, Sandrine Blanc, Annette Gros, Lionel Lazard, Huguette Louis, Cyril Marcellin.
Jean-Louis Vollot invitait alors l’assemblée à remercier Serge Bouchet pour ses 12 ans de « bons et loyaux services » au comité des fêtes.
Il a été décidé de reconduire en 2007 les manifestations habituelles : 14 juillet, fête votive, journée des peintres, festival des soupes et fête des vendanges.
Le renouvellement du bureau s’avérait, a priori, une tâche plus difficile, dans la mesure où il fallait pallier les départs simultanés du président et de sa secrétaire, Serge et Evelyne Bouchet. Il n’en fut rien dans la mesure où, assez vite, la candidature d’Yvan Raffin, déjà vice-président, ne souleva aucune objection. Annette Gros et Lionel Lazard entraient dans le conseil d’administration pendant que tous les autres membres étaient renouvelés. Sauf coup de théâtre de dernière minute, les postes au bureau étant théoriquement désignés par le conseil d’administration et non par l’assemblée générale, le comité des fêtes devrait avoir cette configuration qui sera complétée :
Président : Yvan Raffin
Trésorier : Michel Muller
Secrétaire : Marc Zeppari
Membres : Jean-Claude Adage, Sandrine Blanc, Annette Gros, Lionel Lazard, Huguette Louis, Cyril Marcellin.
Jean-Louis Vollot invitait alors l’assemblée à remercier Serge Bouchet pour ses 12 ans de « bons et loyaux services » au comité des fêtes.
Il a été décidé de reconduire en 2007 les manifestations habituelles : 14 juillet, fête votive, journée des peintres, festival des soupes et fête des vendanges.
Retour au sommaire 2006, automne... Retour au sommaire Éphéméride 2006C'est par de grandes tables ensoleillées, nappées de blanc et ornées de toutes ces petites choses qui font Noël, que les Aînés de Villedieu furent accueillis, vers midi, ce jeudi 14 décembre 2006.
Le traiteur de Tulette nous a vraiment régalés avec un menu délicieux, du début jusqu'à la fin : gourmandise de ris d'agneau, assiette de saint-jacques, effilochée de poireaux, trou provençal, fondant de charolais aux petits légumes, plateau de fromages avec mesclun, assiette gourmande de desserts, apéritif, vins et café.
L'animation musicale d'abord discrète, à notre demande, car c'est bien connu, les aînés aiment bien parler, ils ont tant de choses à se raconter. Même les plus âgés étaient présents. L'animation musicale, disais-je, a fini par entraîner les danseurs qui ont évolué entre les tables en forme de U.
Notre président, Michel Coulombel, a chaleureusement accueilli et remercié tous les participants.
Bonne fête de Noël à tous.
Le traiteur de Tulette nous a vraiment régalés avec un menu délicieux, du début jusqu'à la fin : gourmandise de ris d'agneau, assiette de saint-jacques, effilochée de poireaux, trou provençal, fondant de charolais aux petits légumes, plateau de fromages avec mesclun, assiette gourmande de desserts, apéritif, vins et café.
L'animation musicale d'abord discrète, à notre demande, car c'est bien connu, les aînés aiment bien parler, ils ont tant de choses à se raconter. Même les plus âgés étaient présents. L'animation musicale, disais-je, a fini par entraîner les danseurs qui ont évolué entre les tables en forme de U.
Notre président, Michel Coulombel, a chaleureusement accueilli et remercié tous les participants.
Bonne fête de Noël à tous.
Viviane Bellion, Marie-Rose Fontana et Jean Brichet
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Retour au sommaire 2006, automne... Retour au sommaire Éphéméride 2006Vendredi 15 décembre 2006, grande cérémonie à la préfecture d’Avignon pour la remise des médailles « Jeunesse et Sport ».
Claude Haut, président du Conseil général a remis la médaille de bronze du ministère de la jeunesse, des sports et de la vie associative à Anne-Marie Durand. Auparavant a été mentionné par le secrétaire général de la Préfecture que cette médaille lui a été décernée pour ses activités, essentiellement bénévoles, au titre d’administratrice de la fédération française des écoles de cirque. Elle a été jury des brevets d’initiateur aux arts du cirque, audit des écoles de cirque, etc.
Bien évidemment cette médaille lui était également remise pour la création, avec son mari Daniel, de l’école de cirque Badaboum à Vaison la Romaine il y a 17 ans en 1989.
Cela débuta avec dix élèves, maintenant l’école en compte deux cent vingt-cinq et six unités d’enseignement.
Modeste et effacée comme nous la connaissons tous, elle a accepté cet honneur en pensant uniquement que cela serait un atout pour la bonne réputation de Badaboum.
Bravo Anne-Marie, tous tes élèves et tous tes amis sont heureux pour toi et te félicitent.
Claude Haut, président du Conseil général a remis la médaille de bronze du ministère de la jeunesse, des sports et de la vie associative à Anne-Marie Durand. Auparavant a été mentionné par le secrétaire général de la Préfecture que cette médaille lui a été décernée pour ses activités, essentiellement bénévoles, au titre d’administratrice de la fédération française des écoles de cirque. Elle a été jury des brevets d’initiateur aux arts du cirque, audit des écoles de cirque, etc.
Bien évidemment cette médaille lui était également remise pour la création, avec son mari Daniel, de l’école de cirque Badaboum à Vaison la Romaine il y a 17 ans en 1989.
Cela débuta avec dix élèves, maintenant l’école en compte deux cent vingt-cinq et six unités d’enseignement.
Modeste et effacée comme nous la connaissons tous, elle a accepté cet honneur en pensant uniquement que cela serait un atout pour la bonne réputation de Badaboum.
Bravo Anne-Marie, tous tes élèves et tous tes amis sont heureux pour toi et te félicitent.
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Retour au sommaire 2006, automne... Retour au sommaire Éphéméride 2006Jeudi 30 novembre, Jean Marcellin, dessinateur et illustrateur, souvent vaisonnais, est venu rendre visite aux enfants de l'école du Palis.
Après la soirée estivale du 4 août, au cours de laquelle il avait illustré en direct les chansons de Jean-Bernard Plantevin, il avait proposé de faire découvrir son activité aux élèves de l'école.
Le livre Vaison-la-Romaine, une longue histoire, réalisé par Christine Bezin et illustré par Jean Marcellin circulait déjà parmi les élèves puisque leur programme d'histoire correspondait à cette période, dont les témoignages sont nombreux dans notre cité.
Très attendu par les enfants, Jean Marcellin proposait alors de se mettre au travail sans tarder : papiers et crayons sont distribués aux enfants qui très attentifs aux consignes de l'artiste se sont mis à l'œuvre. Sous le crayon du maître sont nés un robuste Voconce et sa compagne, différents animaux sans oublier la célèbre pie.
Quelle surprise devant leur « œuvre » pour ces petits artistes !
Pendant ces activités, les jeunes ont posé beaucoup de questions :
- comment et où avait-il appris à dessiner ?
- avait-il voyagé pour se documenter ?
- que savait-il de la vie quotidienne à ce moment là ? ...
Avant de les quitter, Jean Marcellin proposa son ouvrage Le voyage à Vasio à chacun des enfants. De magnifiques planches, sur lesquelles on peut reconnaître quelques Vaisonnais célèbres, resteront à l'école.
Un excellent moment et de beaux souvenirs pour tous les enfants et leur maîtresse.
Après la soirée estivale du 4 août, au cours de laquelle il avait illustré en direct les chansons de Jean-Bernard Plantevin, il avait proposé de faire découvrir son activité aux élèves de l'école.
Le livre Vaison-la-Romaine, une longue histoire, réalisé par Christine Bezin et illustré par Jean Marcellin circulait déjà parmi les élèves puisque leur programme d'histoire correspondait à cette période, dont les témoignages sont nombreux dans notre cité.
Très attendu par les enfants, Jean Marcellin proposait alors de se mettre au travail sans tarder : papiers et crayons sont distribués aux enfants qui très attentifs aux consignes de l'artiste se sont mis à l'œuvre. Sous le crayon du maître sont nés un robuste Voconce et sa compagne, différents animaux sans oublier la célèbre pie.
Quelle surprise devant leur « œuvre » pour ces petits artistes !
Pendant ces activités, les jeunes ont posé beaucoup de questions :
- comment et où avait-il appris à dessiner ?
- avait-il voyagé pour se documenter ?
- que savait-il de la vie quotidienne à ce moment là ? ...
Avant de les quitter, Jean Marcellin proposa son ouvrage Le voyage à Vasio à chacun des enfants. De magnifiques planches, sur lesquelles on peut reconnaître quelques Vaisonnais célèbres, resteront à l'école.
Un excellent moment et de beaux souvenirs pour tous les enfants et leur maîtresse.
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Retour au sommaire 2006, automne... Retour au sommaire Éphéméride 2006« O ! Water ! » ... bis [ par Jean Housset ]
Après la parution de mon article dans La Gazette n°42, madame le Maire de Buisson m'informe que les WC publics ont été rénovés en 1991, en même temps que s'effectuaient les travaux de la salle des fêtes et que les écoulements ne pouvaient pas se faire autrement que dans la fosse septique existante. Rien de mystérieux donc.
Ce numéro est paru en mon absence et à mon retour, j'ai appris avec stupeur, que mes articles avaient suscité de vives réactions dans le village, où de nombreuses rumeurs ont couru. On est allé, tenez-vous bien, jusqu'à glisser un courrier anonyme dans la boîte aux lettres de la mairie !
Une lettre, vous vous en doutez, pas très flateuse, soit, mais pourquoi l'adresser à madame le Maire (qu'on égratigne au passage) plutôt qu'à moi-même ? Le procédé ne faisant pas honneur à son (ou ses) rédacteur(s) nous n'essaierons pas d'en deviner l'origine.
Quant à mes articles, dont je suis seul responsable, s'ils ont choqué, je suis prêt à m'en excuser auprès de toute personne qui aurait la courtoisie de se présenter pour en discuter pacifiquement, tout comme j'ai la politesse (l'honnêteté ?) de les signer.
Ce numéro est paru en mon absence et à mon retour, j'ai appris avec stupeur, que mes articles avaient suscité de vives réactions dans le village, où de nombreuses rumeurs ont couru. On est allé, tenez-vous bien, jusqu'à glisser un courrier anonyme dans la boîte aux lettres de la mairie !
Une lettre, vous vous en doutez, pas très flateuse, soit, mais pourquoi l'adresser à madame le Maire (qu'on égratigne au passage) plutôt qu'à moi-même ? Le procédé ne faisant pas honneur à son (ou ses) rédacteur(s) nous n'essaierons pas d'en deviner l'origine.
Quant à mes articles, dont je suis seul responsable, s'ils ont choqué, je suis prêt à m'en excuser auprès de toute personne qui aurait la courtoisie de se présenter pour en discuter pacifiquement, tout comme j'ai la politesse (l'honnêteté ?) de les signer.
Pour la troisième année, une bien jolie petite expo vient de se tenir à Buisson chez la tisserande Dominique Le Cronc. Pour l’occasion Dominique avait invité Sandra Clarck qui fabrique des bijoux ethniques. Composés de graines récoltées dans le monde entier, ces bijoux sont montés sur des lacets de cuir : colliers, bracelets, boucles d’oreilles, porte-clés. Chaque graine apporte originalité et fantaisie à l’objet. Auprès des fameux tissages de Dominique que l’on ne présente plus, étaient exposés les tableaux d’Evelyne Hammond. Celle-ci avait déja présenté quelques toiles lors des Peintres dans la rue à Villedieu.. Cette fois-ci de nouveaux formats carrés venaient compléter la collection toujours dans le même esprit : petits paysages régionaux soulignés par de grands pans de couleurs mettant en relief ces miniatures. Couleurs chaudes et puissantes, paysages raffinés, le tout pour un résultat très sympa.
Le magnifique métier à tisser qui trône dans l’atelier, rappelle le travail artisanal de Dominique, qui toujours attire l’oeil et réchauffe en ces périodes hivernales.
Les trois artistes ont reçu tout le week-end les visiteurs accueillis par une tasse de thé et quelques petits gâteaux maison.
Le magnifique métier à tisser qui trône dans l’atelier, rappelle le travail artisanal de Dominique, qui toujours attire l’oeil et réchauffe en ces périodes hivernales.
Les trois artistes ont reçu tout le week-end les visiteurs accueillis par une tasse de thé et quelques petits gâteaux maison.
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A propos du 11 novembre et des commémorations guerrières en général, l'article de Jean Housset m'a inspiré quelques réflexions. Au sujet de l'hymne national, je suis toujours troublée d'entendre dans la bouche des enfants (ou des sportifs dans les stades) « Aux armes citoyens, qu'un sang impur... ». Je connais des associations qui militent pour que soient modifiées certaines paroles de la Marseillaise qui n'ont plus de raisons d'être aujourd'hui.
Et puis, à propos de « nos ancêtres les soldats... », les miens étaient des paysans qui sont partis soldats parce qu'ils n'avaient pas le choix (les pacifistes et les objecteurs de conscience, en temps de guerre on les fusille !) et quand ils croyaient se battre pour l'avenir de leur descendance, ils ne faisaient que défendre les privilèges des banquiers, des industriels et des marchands de canons en 14/18 comme en 39/45. Voici ce qui figure sur le monument aux morts de Saint-Martin d'Estreaux (Loire) :
Devoir de mémoire ? Oui, bien sûr, mais que commémore-t-on ? Avec quelle pédagogie pour les générations présentes et futures ? Nous fêtons les morts de la guerre comme des héros alors qu'ils n'en sont que les victimes. Derrière l'éloge du sacrifice nous masquons la barbarie, l'horreur, la violence absolue.
Tant qu'il en sera ainsi, je m'abstiendrai d'assister à ces commémorations, et je pense que nous sommes nombreux dans ce cas, y compris parmi les anciens combattants, j'en connais personnellement. Ne pourrions-nous pas réfléchir tous ensemble et trouver une façon plus juste de rendre hommage aux disparus ?
Et puis, à propos de « nos ancêtres les soldats... », les miens étaient des paysans qui sont partis soldats parce qu'ils n'avaient pas le choix (les pacifistes et les objecteurs de conscience, en temps de guerre on les fusille !) et quand ils croyaient se battre pour l'avenir de leur descendance, ils ne faisaient que défendre les privilèges des banquiers, des industriels et des marchands de canons en 14/18 comme en 39/45. Voici ce qui figure sur le monument aux morts de Saint-Martin d'Estreaux (Loire) :
1914 - 1918 Bilan de la guerre
Plus de douze millions de morts !
Autant d'individus qui ne sont pas nés !
Plus encore de mutilés, blessés, veuves et orphelins.
Pour d'innombrables milliards de destructions diverses.
Des fortunes scandaleuses édifiées sur les misères humaines.
Des innocents au poteau d'exécution.
Des coupables aux honneurs.
La vie atroce pour les déshérités.
La formidable note à payer.
La guerre aura-t-elle assez provoqué de souffrances et de misères ?
Assez tué d'hommes ?
Pour qu'à leur tour les hommes aient l'intelligence et la volonté de tuer la guerre ?
Plus de douze millions de morts !
Autant d'individus qui ne sont pas nés !
Plus encore de mutilés, blessés, veuves et orphelins.
Pour d'innombrables milliards de destructions diverses.
Des fortunes scandaleuses édifiées sur les misères humaines.
Des innocents au poteau d'exécution.
Des coupables aux honneurs.
La vie atroce pour les déshérités.
La formidable note à payer.
La guerre aura-t-elle assez provoqué de souffrances et de misères ?
Assez tué d'hommes ?
Pour qu'à leur tour les hommes aient l'intelligence et la volonté de tuer la guerre ?
Devoir de mémoire ? Oui, bien sûr, mais que commémore-t-on ? Avec quelle pédagogie pour les générations présentes et futures ? Nous fêtons les morts de la guerre comme des héros alors qu'ils n'en sont que les victimes. Derrière l'éloge du sacrifice nous masquons la barbarie, l'horreur, la violence absolue.
Tant qu'il en sera ainsi, je m'abstiendrai d'assister à ces commémorations, et je pense que nous sommes nombreux dans ce cas, y compris parmi les anciens combattants, j'en connais personnellement. Ne pourrions-nous pas réfléchir tous ensemble et trouver une façon plus juste de rendre hommage aux disparus ?
La municipalité de Buisson vous informe que les travaux de réaménagement des bâtiments communaux (mairie et ancien bar) débuteront courant janvier 2007, pour une durée d'un an.
Pendant cette période, la mairie sera transférée à la salle des fêtes aménagée comme suit : une salle de réunion, la bibliothèque et le secrétariat.
Les nuisances occasionnées par les travaux sont inévitables pour les riverains.
Conscients de cette gêne, madame le Maire et ses conseillers municipaux présentent leurs excuses à tous et les remercient de leur compréhension.
Le permis de construire relatif aux travaux est consultable en mairie.
Pendant cette période, la mairie sera transférée à la salle des fêtes aménagée comme suit : une salle de réunion, la bibliothèque et le secrétariat.
Les nuisances occasionnées par les travaux sont inévitables pour les riverains.
Conscients de cette gêne, madame le Maire et ses conseillers municipaux présentent leurs excuses à tous et les remercient de leur compréhension.
Le permis de construire relatif aux travaux est consultable en mairie.
C'est le mardi 10 octobre qu'a eu lieu cette soirée, en partie dans la salle des fêtes et sous le châpiteau de la COPAVO. Douze soupes furent présentées, toutes plus alléchantes les unes que les autres. Une particularité, la moitié des concurents étaient des enfants. Liste des participants : Chantal Ayme, Laura Castellano, Thibaut Florini, Lisa Gérald, Nicolas Le Bras, Claude Mense, John Parsons, Quentin Puigmal, Hélène Tortel, Sylvain Tortel, Vincent Tortel.
C'est d'ailleurs un enfant de dix ans Quentin Puigmal qui a séduit le jury avec une Soupe Orange dont voici la recette :
Une tomate pour deux carottes (à multiplier selon la quantité désirée), du bouillon de volaille, de la crème fraîche, du sel et du poivre.
Couper les carottes et les tomates en dés. Couvrir avec le bouillon de volaille et laisser cuire (durée variable selon quantité). Mixer le tout et assaisonner. Servir chaud ou froid accompagné d'un ramequin de crème fraîche.
Annie, la maman de Quentin, bénévole très active de la soirée, était fort occupée et c'est papa qui s'est chargé de ramener à la maison Quentin et sa petite soeur Justine. Chemin faisant, Quentin, encore étourdi de son succès, demandait : « Dis papa, c'est vraiment vrai, je n'ai pas rêvé, j'ai vraiment gagné ? ». Le triomphe modeste...
Interrogé sur ses impressions après la finale à Vaison, il a déclaré avoir vécu ça comme un challenge : « C'était plutôt bien, mais l'an prochain je ne pense pas recommencer, pour laisser la chance à d'autres. » Il est décidément beau joueur ce petit Quentin !
C'est d'ailleurs un enfant de dix ans Quentin Puigmal qui a séduit le jury avec une Soupe Orange dont voici la recette :
Une tomate pour deux carottes (à multiplier selon la quantité désirée), du bouillon de volaille, de la crème fraîche, du sel et du poivre.
Couper les carottes et les tomates en dés. Couvrir avec le bouillon de volaille et laisser cuire (durée variable selon quantité). Mixer le tout et assaisonner. Servir chaud ou froid accompagné d'un ramequin de crème fraîche.
Annie, la maman de Quentin, bénévole très active de la soirée, était fort occupée et c'est papa qui s'est chargé de ramener à la maison Quentin et sa petite soeur Justine. Chemin faisant, Quentin, encore étourdi de son succès, demandait : « Dis papa, c'est vraiment vrai, je n'ai pas rêvé, j'ai vraiment gagné ? ». Le triomphe modeste...
Interrogé sur ses impressions après la finale à Vaison, il a déclaré avoir vécu ça comme un challenge : « C'était plutôt bien, mais l'an prochain je ne pense pas recommencer, pour laisser la chance à d'autres. » Il est décidément beau joueur ce petit Quentin !
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C’est le samedi 16 décembre qu’a eu lieu l’arbre de Noël à Buisson. Dès 15 h, un spectacle accueillait les enfants, Le père Noël n’est plus ce qu’il était par Annie Rousset du Groupe A+.
Cette petite compagnie, basée à Séguret depuis presque vingt ans, propose des spectacles, des animations, des contes, des ateliers, des stages, pour adultes et pour enfants. Elle intervient principalement en milieu rural.
À Buisson ce fut un grand succès !
Après le spectacle pendant que les enfants décoraient le sapin sur la place, des bénévoles installaient les tables pour un goûter copieux, coloré et savoureux.
On en était donc aux agapes, quand, boum ! boum ! boum ! On frappe à la porte. C’était le Père Noël en personne, venu remettre à chacun des enfants un paquet enrubanné.
Merci à David Abély, l’employé communal, qui a gracieusement prêté son concours, mais chut, on ne dira pas pourquoi...
Cette petite compagnie, basée à Séguret depuis presque vingt ans, propose des spectacles, des animations, des contes, des ateliers, des stages, pour adultes et pour enfants. Elle intervient principalement en milieu rural.
À Buisson ce fut un grand succès !
Après le spectacle pendant que les enfants décoraient le sapin sur la place, des bénévoles installaient les tables pour un goûter copieux, coloré et savoureux.
On en était donc aux agapes, quand, boum ! boum ! boum ! On frappe à la porte. C’était le Père Noël en personne, venu remettre à chacun des enfants un paquet enrubanné.
Merci à David Abély, l’employé communal, qui a gracieusement prêté son concours, mais chut, on ne dira pas pourquoi...
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Retour au sommaire 2006, automne... Retour au sommaire Éphéméride 2006Il était une fois un garçon ayant un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience ou se disputerait avec quelqu'un.
Le premier jour, il planta trente-sept clous dans la barrière. Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour. Il avait découvert que c'était plus facile de se contrôler que de planter des clous !
Finalement arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou. Il alla voir son père et lui dit que pour ce jour, il n’ en avait planté aucun.
Son père lui demanda alors d'en enlever un chaque jour où il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et le garçon put enfin dire à son père qu'il les avait tous retirés. Le père conduisit son fils devant la barrière et dit : " mon fils : Tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la barrière ; elle ne sera jamais plus comme avant ! "
Un message extrait d'un tantra indien
Le premier jour, il planta trente-sept clous dans la barrière. Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour. Il avait découvert que c'était plus facile de se contrôler que de planter des clous !
Finalement arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou. Il alla voir son père et lui dit que pour ce jour, il n’ en avait planté aucun.
Son père lui demanda alors d'en enlever un chaque jour où il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et le garçon put enfin dire à son père qu'il les avait tous retirés. Le père conduisit son fils devant la barrière et dit : " mon fils : Tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la barrière ; elle ne sera jamais plus comme avant ! "
Un message extrait d'un tantra indien
Retour au sommaire 2006, automne... Retour au sommaire Éphéméride 2006Ouf ! cela faisait longtemps que l'on se disait, à La Gazette, que l'on pouvait faire des numéros plus courts. On s'est même organisé pour ça, en essayant d'avoir un rythme plus soutenu. Huit gazettes en 2006, c'est deux de plus qu'en 2005 et 2004 et, oh surprise , une gazette de 10 pages pour clôturer. Enfin, nous avons réussi, nous avons fait plus court.
Bien sûr, qui dit « plus court » dit « moins long » et donc, pas de crooneries, pas de sudoku, de nombreux articles reportés au numéro suivant…
Mais bon, dix pages, entre Noël et le Jour de l'An, c'est aussi le maximum de ce que l'on peut avaler entre deux réveillons. Il nous fallait aussi paraître assez tôt pour annoncer le spectacle du 7 janvier, que nous organisons avec les Aînés. La Pastorale Maurel appartient à la grande tradition de la Provence. Nous avons voulu la présenter à une date proche des fêtes de fin d'année, auxquelles elle est liée.
Et puis, il y a les contingences techniques : notre imprimeur, média PC place Montfort à Vaison, ferme à l'occasion des fêtes et a ouvert spécialement pour nous le mercredi 27 décembre. Qu'il en soit remercié ici.
En tout cas, la promesse faite depuis le début à nos lecteurs d'une pagination et une périodicité variables est tenue.
Attention ! Dix pages certes, mais bien remplies la découverte de la Corse par Annetix, l'actualité de La Vigneronne et des planteurs de banane locaux, les soucis de Paulette Mathieu avec les cloches (Li campano) après ses déboires avec les cailloux (N'ai proun), Jean Marcellin à l'école du Palis ou le repas de fin d'année des Aînés, il se passe toujours quelque chose…
Cette gazette mérite également une mention spéciale aux deux pages buissonnaises. Les articles du numéro 42 ont semble-t-il suscité réactions et polémiques. Jean Housset répond à ses détracteurs et souligne un point auquel nous tenons à La Gazette : nos articles sont signés et leurs auteurs assument leurs propos. Ils peuvent être de parti pris : je n'étais pas d'accord avec certains passages de l'article de Jean Housset sur la commémoration du 11 novembre mais chacun est libre de ses appréciations et de ses opinions. Je suis très content que Gisèle Moncet réponde à cet article en développant un autre point de vue. Et si je devais à mon tour traiter ce sujet, c'est encore autre chose que je dirais. J'aimerais beaucoup que La Gazette devienne un lieu d'échange d'idées et de point de vue, de discussion et de débat. A dire vrai, nous le voulons tous depuis le début… même si ce n'est pas si facile.
De plus, il y avait un moyen bien simple de rectifier l'erreur de Jean Housset : envoyer un petit mot à la Gazette ou me téléphoner. Je sais qu'il n'est pas toujours facile de prendre sa plume mais je suis à la disposition de ceux qui ont quelque chose à dire. Je peux servir de porte-plume (en revanche je me refuse à servir de porte-parole, bien qu'on me le demande souvent).
Les erreurs ou les oublis dans le journal sont inévitables : il y a beaucoup de choses que nous ne savons pas, d'autres que nous n'avons pas le temps de vérifier. Les méandres de la « politique locale » sont suffisamment complexes et sinueux et nous n’arrivons pas toujours à les suivre, à Villedieu, déjà, à Buisson encore moins. En tout état de cause, le comité éditorial de chaque numéro est seul juge de ce qui est publié ou de ce qui ne l'est pas. Ce comité est différent à chaque numéro et le lecteur est invité à y porter attention.
Un dernier remerciement dans ce billet, à Delphine Dénéréaz, à qui j'ai demandé de dessiner une carte de vœu originale et qui m'a répondu « oui » tout de suite. Elle sera sur votre frigo pour quelques semaines, avec les dates des lotos, celles de notre assemblée générale et quelques autres encore. Pas d'appel à cotisation dans ce numéro : ce sera dans le prochain pour l'année 2007.
En attendant ce mois de janvier bien chargé, joyeuses fêtes à tous, santé et prospérité pour l'année à venir.
Bien sûr, qui dit « plus court » dit « moins long » et donc, pas de crooneries, pas de sudoku, de nombreux articles reportés au numéro suivant…
Mais bon, dix pages, entre Noël et le Jour de l'An, c'est aussi le maximum de ce que l'on peut avaler entre deux réveillons. Il nous fallait aussi paraître assez tôt pour annoncer le spectacle du 7 janvier, que nous organisons avec les Aînés. La Pastorale Maurel appartient à la grande tradition de la Provence. Nous avons voulu la présenter à une date proche des fêtes de fin d'année, auxquelles elle est liée.
Et puis, il y a les contingences techniques : notre imprimeur, média PC place Montfort à Vaison, ferme à l'occasion des fêtes et a ouvert spécialement pour nous le mercredi 27 décembre. Qu'il en soit remercié ici.
En tout cas, la promesse faite depuis le début à nos lecteurs d'une pagination et une périodicité variables est tenue.
Attention ! Dix pages certes, mais bien remplies la découverte de la Corse par Annetix, l'actualité de La Vigneronne et des planteurs de banane locaux, les soucis de Paulette Mathieu avec les cloches (Li campano) après ses déboires avec les cailloux (N'ai proun), Jean Marcellin à l'école du Palis ou le repas de fin d'année des Aînés, il se passe toujours quelque chose…
Cette gazette mérite également une mention spéciale aux deux pages buissonnaises. Les articles du numéro 42 ont semble-t-il suscité réactions et polémiques. Jean Housset répond à ses détracteurs et souligne un point auquel nous tenons à La Gazette : nos articles sont signés et leurs auteurs assument leurs propos. Ils peuvent être de parti pris : je n'étais pas d'accord avec certains passages de l'article de Jean Housset sur la commémoration du 11 novembre mais chacun est libre de ses appréciations et de ses opinions. Je suis très content que Gisèle Moncet réponde à cet article en développant un autre point de vue. Et si je devais à mon tour traiter ce sujet, c'est encore autre chose que je dirais. J'aimerais beaucoup que La Gazette devienne un lieu d'échange d'idées et de point de vue, de discussion et de débat. A dire vrai, nous le voulons tous depuis le début… même si ce n'est pas si facile.
De plus, il y avait un moyen bien simple de rectifier l'erreur de Jean Housset : envoyer un petit mot à la Gazette ou me téléphoner. Je sais qu'il n'est pas toujours facile de prendre sa plume mais je suis à la disposition de ceux qui ont quelque chose à dire. Je peux servir de porte-plume (en revanche je me refuse à servir de porte-parole, bien qu'on me le demande souvent).
Les erreurs ou les oublis dans le journal sont inévitables : il y a beaucoup de choses que nous ne savons pas, d'autres que nous n'avons pas le temps de vérifier. Les méandres de la « politique locale » sont suffisamment complexes et sinueux et nous n’arrivons pas toujours à les suivre, à Villedieu, déjà, à Buisson encore moins. En tout état de cause, le comité éditorial de chaque numéro est seul juge de ce qui est publié ou de ce qui ne l'est pas. Ce comité est différent à chaque numéro et le lecteur est invité à y porter attention.
Un dernier remerciement dans ce billet, à Delphine Dénéréaz, à qui j'ai demandé de dessiner une carte de vœu originale et qui m'a répondu « oui » tout de suite. Elle sera sur votre frigo pour quelques semaines, avec les dates des lotos, celles de notre assemblée générale et quelques autres encore. Pas d'appel à cotisation dans ce numéro : ce sera dans le prochain pour l'année 2007.
En attendant ce mois de janvier bien chargé, joyeuses fêtes à tous, santé et prospérité pour l'année à venir.
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