Éphéméride : 2007, fin de printemps... |
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Gazette N°46 - 5 juin 2007 - Commémoration du 8 mai - Tennis club - Premières communions - Célia - Présidentielles 2007 - Buisson • Mil neuf cent quatorze, mil neuf cent… dix-neuf • Communiqué municipal • Une poignée de citoyens pour une poignée de souvenirs • Résultat des élections présidentielles • Vide-grenier - Le Palis • Pique-nique - Le Billet |
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Commémoration du 8 mai [ par Nora Tailleux ]
Mardi 8 mai 2007, jour anniversaire de la capitulation de l'Allemagne nazie, nous sommes allés rendre hommage à toutes les victimes de la seconde guerre mondiale et saluer le courage des combattants.
Monsieur Bertrand, monsieur le maire et moi avons fait un discours. Devant une trentaine de personnes, nous avons parlé de cette guerre abominable. Les anciens combattants voudraient que les jeunes générations se souviennent de ce qui s'est passé pour que ça ne recommence pas. Pour ça, il faut rester vigilant. Ils étaient contents de voir un enfant parmi eux. |
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Tennis club [ par Philippe de Moustier ]
Le Tennis club de Villedieu propose un tournoi nocture masculin et féminin, en simple, le samedi 16 juin de 16 h à 23 h.
L'inscription est d’un euro pour ce tournoi familial et gourmand. L'association proposera une gamme de viandes au barbecue. Merci aux participants d'apporter des salades. Boissons, vins et glaces seront vendus sur place. Préparation du Pistou du 21 juillet : Une soirée de lancement et de préparation est ouverte aux bonnes volontés le 20 juin à 18 h 30 chez Jacques Bellier. |
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Premières communions [ par Armelle Dénéréaz ]
Le dimanche 12 mai, c'était la première communion à l'église de Villedieu. Depuis deux ans, neuf enfants de Villedieu, Buisson et le Palis ont suivi avec assiduité le catéchisme à Villedieu chaque mercredi matin.
De nombreux parents et amis, sans oublier parrains et marraines, étaient là pour les accompagner durant cette belle cérémonie. C'est par un soleil radieux que Diane Bouffies, Thomas Brunel, Louise et Juliette Chancel, Enzo de Moustier, François Giraudel, Frédéric Kœstler, Agathe Langel et Lucie Peugeot ont posé, entourés du Père Doumas et de leurs catéchistes Janine Serret et Claudine degl'Innocenti. |
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Célia [ par Yves Tardieu ]
Célia est née le 9 octobre 2006 à Orange.
Elle est la fille de Myriam et Jean-Laurent Macabet. Selon ses parents c'est un bébé modèle, joyeux, « bavard » et surtout très calme. Célia ne les a jamais empêchés de dormir ! Selon le grand-père, la consommation de vin rouge, exclusivement par la maman enceinte, serait à l'origine de cette merveilleuse réussite. La faculté de médecine ne devrait pas tarder à confirmer… |
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Présidentielles 2007 [ par Yves Tardieu ]
Les élections présidentielles paraissent déjà un peu loin, même si elles ont suscité une certaine passion et une forte mobilisation. Le premier tour, avec ces Shivardi, Nihous ou Laguiller à la une de l’actualité est déjà bien oublié. Dans la tradition instaurée dans le numéro 10 du 10 mai 2002, un petit retour sur les résultats villadéens ne peut pas faire de mal.
Une nouvelle fois, Villedieu n’est pas vraiment représentatif du pays, avec un Bayrou au deuxième tour. Pour le reste, Villedieu accentue les caractères des résultats nationaux. Avec ses quatre voix, Marie-George Buffet poursuit le déclin du parti communiste jusqu’à un score incroyablement bas si on se souvient de la force de ce parti1 dans le passé à Villedieu. Fétiche, qui représente à lui seul 25 % du vote communiste à Villedieu envisage même de demander l’asile politique à Buisson2, village voisin qui résiste le mieux et qui accorde le plus fort pourcentage du canton à Marie-George Buffet. En attendant, il aimerait bien taper le carton un jour avec les trois autres s’ils se font connaître... Arlette Laguiller a fait peut-être la campagne de trop... Si son score national est faible, à Villedieu, c’est la première fois en six candidatures qu’elle n’a aucune voix (6, 8, 3, 9 et 15 dans le passé). C’est d’autant plus étonnant que c’est rare : il n’y a que neuf villages dans ce cas dans le Vaucluse et ils ont tous moins de 100 votants (Brantes, Saint-Léger, Saint-Trinit, Auribeau, Castellet, Lagarde d’Apt, Buoux, Sivergues, Crillon-le-Brave). Et puis notre maire avait parrainé sa candidature... Les autres candidats « à la gauche du parti socialiste » font des scores encore plus bas qu’ailleurs, même Gérard Shivardi qui pourtant portait des thèmes qui auraient pu plaire dans un village qui a largement voté « non » au traité européen et refusé d’entrer dans un premier temps dans la Copavo. En revanche, la percée de Bayrou et la résistance de Le Pen sont beaucoup plus marquées à Villedieu. Le deuxième tour confirme largement le premier avec un score exceptionnellement élevé de Nicolas Sarkozy qui place Villedieu au hit parade des villages sarkosystes. Dans le canton, toutes les communes placent Sarkozy en tête, mais de Buisson (53, 89 %, c’est à dire une avance de 14 voix), où son score est le plus proche de sa moyenne nationale, à Saint-Roman, qui bat le record local avec plus de 70 % des voix, il y a de la marge. Villedieu fait partie des quatre sarkoso-sarkosystes du coin3. D’une élection à l’autre, les succès et les échecs sont bien éloignés les uns des autres. En 2002, avec l’abstention, l’éparpillement des votes et le score de Le Pen, la démocratie et les grands partis étaient, nous disait-on, en grave crise. En 2007, l’UMP et le PS retrouvent leur suprématie, les électeurs vont voter et les partis « extrémistes » s’effondrent. Bref, les jugements définitifs sur les résultats électoraux ne valent, apparemment, que le temps séparant deux élections. En tout cas, si l’on doit expliquer ce vote villadéen, on ne se contentera pas de souligner l’influence de La Gazette, accusée d’être un journal sarkozyste au conseil municipal de Villedieu4. Les différentes enquêtes après l’élection sont éclairantes. On y apprend que les plus de 60 ans ont voté a presque 65 % pour Nicolas Sarkozy, les agriculteurs à 67 %, les possesseurs de Peugeot et de Citroën5 à près de 60 % , les artisans et commerçants à plus de 80 %. Si on ajoute toutes ces catégories à Villedieu, on en vient même à se demander comment Ségolène Royal a pu obtenir 35 % des voix. Les royalistes villadéens, nécessairement déconfits, peuvent même considérer que ces 35 % sont une victoire, malgré les apparences ! 1. Jacques Duclos, en tête avec 38,5 % des voix en 1969 : Georges Marchais, second avec 22,7 % en 1981. 2. Voir les résultats buissonnais dans les pages « Buisson » de ce numéro. 3. À noter que dans la Copavo, Sablet est à ranger dans les sarkozo-sarkozytes et qu’Entrechaux, en revanche, se singularise en lui donnant un score de 52 % inférieur au résultat national. Les royalistes peuvent s’ils le souhaitent se réfugier dans la vallée du Toulourenc où Ségolène Royal obtient 57 % à Saint-Léger, 60 % à Savoillans et 66 % à Brantes. Dans le Vaucluse, seuls Auribeau, Gignac, Lafare, Buoux, Sivergues, Saint-Pantaléon, Blauvac, Villes-sur-Auzon et La Bastidonne donnent aussi une majorité à la candidate de la gauche. Le Vaucluse est par ailleurs un des dix départements qui ont donné plus de 60 % à Nicolas Sarkozy. 4. C’est authentique même si c’est anecdotique. C’est comme ça qu’avait commencé la réunion pendant laquelle nous avons supprimé les subventions aux associations. 5. On ne sait pas si nous sommes clients chez la famille De Luca parce que nous sommes de droite avant, ou si nous le devenons ensuite. Ce serait à creuser. Puis bon, il doit bien y avoir à Villedieu un agriculteur ou une agricultrice de plus de 60 ans roulant dans un antique C15 qui a voté Ségolène !
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BUISSON
Mil neuf cent quatorze, mil neuf cent… dix-neuf [ par Angélique Dautreppe ]
Comme toute bonne Buissonnaise qui se respecte, j'ai éprouvé moi aussi le besoin d'apporter mon grain de sel sur la commémoration du 11 novembre. J'aurais également pu parler des nouvelles toilettes publiques puisqu'à Buisson, visiblement, l'un ne va pas sans l'autre (phénomène inexplicable) mais ce dernier sujet m'a beaucoup moins inspirée.
Dans les petits villages qui jouxtent le chemin des Dames, dans l'Aisne, les monuments aux morts ne sont guère plus fréquentés le 11 novembre qu'à Buisson. On marche encore sur les stigmates de la guerre, mais on n'en parle pas plus que ça. Là-bas, « on voit », et même si on le voulait, on ne pourrait pas oublier. Tout est là pour nous rappeler l'horreur ; que ce soit les cimetières militaires à perte de vue, les vestiges que l'on retrouve encore aujourd'hui, çà et là, en labourant un champ ou en bêchant un jardin, il n'y a qu'à se baisser… Beaucoup ont leur musée du souvenir à demeure. On trouve aussi, au milieu de nulle part, des petites plaques sur lesquelles est inscrit qu'avant, il y avait ici un village. Dans ces communes fleurissent aussi des musées que nous visitons, parfois quand le cœur nous en dit, mais pas forcément le 11 novembre de chaque année. On y entre avec respect comme dans un lieu sacré. « L'tiot qui s'fourre les doigts dans le nez, c'est la taloche assurée ! » Là-bas, les souffrances de la guerre ont été telles que l'on peut encore les percevoir aussi longtemps après. Cette région a gardé les séquelles évidentes de blessures qui ne se refermeront peut-être jamais. L'heure de la victoire a été aussi celle du bilan. Dans le cœur des gens, la douleur qui a traversé les générations a pris le pas sur les tenants et aboutissants de cette guerre, les traumatismes et les mutilations sur les réjouissances de la victoire. Ainsi, les commémorations de l'armistice laissent pour beaucoup un arrière-goût d'amertume. Alors, commémoration ou non ? Avec ou sans la Marseillaise ? Ces questions qui, même si les différentes opinions ont failli déclencher la troisième guerre mondiale à Buisson, peuvent paraître aussi futiles que la métamorphose de la caverne du Dragon1 face à l'ampleur et la gravité de l'évènement. Elles donnent à penser que la fréquentation décroissante des monuments aux morts, le 11 novembre, ne révèle pas forcément une ingratitude ou une indifférence croissante. Il semblerait même que plus le temps passe, plus on prend conscience de ce qu'a pu être l'horreur de cette épuisante et meurtrière guerre des tranchées. Quatre-vingt-dix ans après elle force encore à la réflexion et suscite le débat. Les absents du 11 novembre ne sont pas forcément « ceux qui ne savent pas, qui ne sauront jamais »2, ils sont peut-être ceux qui ne peuvent s'empêcher de penser que, même si parfois « combattre pour la liberté se paie par le sang… »3, cette victoire-là aura coûté très « chair ». 1. Voir suite en italique. 2. Cf. La Gazette n°42. 3. Cf. La Gazette n°45. LA CAVERNE DU DRAGON Sur le chemin des Dames, il y avait une petite maison où l'on pouvait aller frapper et demander à visiter. Le bonhomme ne refusait jamais l'entrée de la caverne du Dragon. Il se munissait de son indispensable lampe-torche. Nous descendions dans un trou souvent boueux (là-haut, il pleut presque tout le temps) qui mène aux galeries. Là, on « voyait », on écoutait et c'est à chaque fois avec une grande émotion que l'on regagnait la surface. Plus tard, j'ai voulu faire découvrir ce lieu à mes enfants et j'ai eu le choc de découvrir que la caverne du Dragon ne ressemble en rien à ce qu'elle a été. La petite maison a été détruite, le bonhomme et sa lampe-torche ont cédé la place à des hôtesses d'accueil et des néons. Dans l'entrée, qui fait penser au hall d'un hôtel quatre étoiles sont disposés des paillassons pour de ne pas souiller le carrelage miroitant, imitation marbre avec éclairage intégré, qui remplace la terre battue. Cette terre foulée par les soldats français et allemands qui tentaient désespérément de survivre avec le mince espoir que la mort ne conclurait pas leur inévitable rencontre avec l'ennemi. On a quand même laissé un peu de cette terre-là, mais l'interdiction d'y marcher est formelle ! (sous peine de taloche.) Il y a des horaires de visites, des présentoirs avec des dépliants. Ceux en français, ceux en anglais, ceux en allemand, c'est la moindre des choses. On a envie de crier au scandale, au sacrilège à la profanation même ! Mais on « voit », on écoute, et quand on remonte à la surface (en ascenseur, s'il vous plaît) on s'aperçoit que l'émotion est la même. |
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Communiqué municipal [ par Liliane Blanc, maire de Buisson ]
Dans le programme de travaux création d'un jardin public et réfection du chemin de la Fontvieille, il n'est pas prévu que le chemin soit goudronné. Il a été restauré afin de faciliter aux habitants des nouvelles constructions, et plus particulièrement aux piétons, l'accès au village.
Le mur de soutènement de la place de Verdun menaçait à plusieurs endroits de s'effondrer. Les causes de ces dégâts étaient le chaussement de la place, les infiltrations d'eau de pluie sans évacuation, et les racines du platane. Il a dû être entièrement refait pour une meilleure solidité, il est flambant neuf et se patinera avec le temps. La partie la plus haute sera complétée par un garde-corps, réalisé par David Abély, employé communal. Ce garde-corps sera identique à celui existant, réalisé en 1997 par Henri Haut, employé communal à cette époque. Félicitations à nos employés d'hier et d'aujourd'hui pour leurs réalisations. Coupe de bois dans le vallon de la Fontvieille, sous la ligne EDF : c'est EDF seule gestionnaire de ses lignes qui a commandé et fait exécuter les coupes de bois et élagages sous et aux abords de la ligne, pour raisons de sécurité. Il n'entre pas dans les compétences de la municipalité d'intervenir dans ces travaux. Tout habitant de la commune est invité à se renseigner en mairie lorsque se présentent des questions de cette nature. le 10 avril 2007. |
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Une poignée de citoyens pour une poignée de souvenirs [ par Jean Housset ]
Certes, nous aurions pu être plus nombreux... si l'on se souvient bien de l'importance de l'événement commémoré.
Mais comment reprocher aux citoyens ordinaires de ne point apprécier ce genre de « plaisir », lorsque « l'exemple vient d'en Haut » (si l'on peut dire) et que le Premier Magistrat du Pays, lui-même, préfère aller se baigner en Méditerranée... et le fait savoir ! Une satisfaction, tout de même : quatre enfants, cette année, se sont ajoutés aux adultes. Soit une augmentation de 400 %, puisqu'habituellement, on n'en comptait qu'un ! Leurs petits bouquets de fleurs se sont ajoutés à la gerbe municipale, et cette complémentarité juvénile faisait chaud au cœur. Le soleil était de la partie, un léger mistral continuait de chasser les nuages qui nous avaient bien trempés la semaine d'avant. Evidemment, le vent gênait l'audition du discours prononcé par le maire. Mais de temps en temps, en bonne pédagogue, Liliane Blanc haussait le ton, notamment en citant les paroles de Jean Moulin : « Chercher ce qui vous unit plutôt que ce qui vous divise... » Et puis on est allé trinquer à la mairie, ou plutôt ce qui en tient lieu actuellement : la salle des fêtes provisoirement aménagée jusqu'à ce que la « nouvelle mairie » soit prête (vers la fin de l'année 2007). Les représentants des deux communes solidaires étaient, bien sûr, présents : Jacky Maffait, pour Villedieu ; Nadine Tortel, veuve de Marcel qui jusqu'à l'an dernier avait porté haut son étendard, pour Buisson ; et les porte-bannières des trois époques historiques : 14-18, 39-45, CATM. Jacky Barre, Michel Muller, et Philippe Puigmal, ont conduit le cortège, puis se sont esquivés pour assurer la même cérémonie à Villedieu. Mêmes causes, mêmes combats, mêmes souvenirs ! |
![]() ![]() Liliane Blanc en compagnie de quatre jeunes Buissonnais Cliquez sur une photo pour les agrandir et en voir plus |
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Résultat des élections présidentielles
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Vide-grenier [ par Le bureau de Buisson loisirs et fêtes ]
À Buisson le 29 avril, dixième vide-grenier déjà ! Le premier avait eu lieu en 1998 à l'initiative de Marie-Claude Chèze.
Cette année 46 participants avaient pris place au cœur du village.
L'ambiance était conviviale et à la dimension de Buisson. Un grand merci à tous ceux qui ont participé à l'organisation et à l'intendance : Marie-Carmen Florini, Jocelyne Cottereau, Angélique Dautreppe (à la pâtisserie et à la buvette), Ludovic Dumas, Claude Mens, Philippe Puigmal (pour les bras). La buvette a été bien accueillie. Merci à Jean Housset qui par sa disponibilité a « sauvé » la rupture de stock des sandwiches dépassés par leur succès. À l'année prochaine. |
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LE PALIS
Pique-nique [ par Renée Biojoux ] Chaque année, les responsables de l'association les Amis de l'école du Palis, organisent un pique-nique pour les gens du quartier. M. et Mme Léthurgie nous font chaque fois le plaisir de nous accueillir chaleureusement au camping du Palis dont ils sont les responsables. Nous ne les remercierons jamais assez.
Cet espace est vraiment le lieu idéal pour ce genre de manifestation. On dit « pique-nique » mais le terme n'est pas vraiment approprié puisque tables, chaises, frigos, sous un grand espace couvert, sont mis à notre disposition. C'est le 1er mai dernier et, malgré les prévisions météorologiques plutôt pessimistes, qu'une quarantaine de personnes est venue les bras chargés de victuailles. Une fois de plus, les cuisinières ont déployé leurs talents pour nous préparer un buffet froid apprécié par tous. Beaucoup de plats bien garnis, tous plus délicieux les uns que les autres, qu'ils soient salés ou sucrés. Il est à noter que, sans se concerter, il n'y avait pas deux plats semblables, comme quoi les Palissoises ont de bonnes idées variées. Mais est-il nécessaire de le préciser ? Pour nous mettre en train, l'apéritif a été servi sur une grande table, dressée sur l'herbe, devant le préau. Nous avons craint, un moment, que la pluie ne vienne mettre de l'eau dans notre pastis, vin cuit et autres, mais seulement quelques gouttes nous ont accompagnés et n'ont pas atteint notre bonne humeur. Le repas a suivi, animé par les conversations qui allaient bon train à mesure que le soleil revenait et que coulaient le rosé Fraîcheur d'été du domaine du Gros-Pata, le rouge Vénus Laurée de la cave de Vaison, et nombres d'autres breuvages, tous aimablement offerts. Après avoir bien mangé, bien bavardé, nous nous sommes séparés, non sans dire « à l'an que vèn, se sian pas mai, que sieguen pas mens. » |
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Le Billet [ par Yves Tardieu ]
Vingt quatre pages et un comité de rédaction inédit avec deux néophites (Bernadette et Paule), deux confirmées (Brigitte et Angélique) et Olivier aux manettes, pour un numéro 46 qui est au moins à la hauteur des précédents.
Et puisque chaque fois c’est différent ou surprenant, on pourra relever le sérieux avec lequel ce groupe a lu et relu La Gazette. À l’origine, un recrutement à plus de 80 % chez la clientèle attitrée du Centre (et aussi d’un obscur estaminet clandestin de la rue de la Bourgade), pouvait laisser craindre une noyade dans le rouge pour l’une, le rosé pour une autre, le blanc pour une troisième, etc. Que nenni ! Si chacun et chacune a su lever le coude et apprécier le merveilleux plat dont nous donnons la recette, dignité et efficacité ont été les maîtres mots des rédacteurs. Sans que cela soit vraiment nouveau, ce numéro a été marqué par une participation exceptionnelle de beaucoup de personnes proposant spontanément articles ou photos. Que cela continue. Le numéro 47 est commencé, avec un nouveau comité, et tous les articles sont les bienvenus, ainsi que les photos, support d’une anecdote ou d’une brève. Pour faire un truc amusant ou donner une info il n’en faut quelquefois pas plus. En attendant, le lecteur pourra apprécier dans ce nouveau numéro un copieux éphéméride qui a le mérite de prouver qu’il se passe toujours quelque chose à Villedieu : accompagner les Villadéens dans leurs périples breton, israélien ou algérien, retrouver les pages buissonnaises toujours aussi denses, saluer les amis du Palis, partager les activités de La Vigneronne et de l’école, découvrir l’avancée des réalisations municipales, jouer à toutes sortes de choses, etc. Pour tout ça et le reste, il n’est pas trop tard pour cotiser ! La Gazette ne s’imprime pas toute seule et n’arrive pas toute seule dans les boîtes aux lettres. Elle a besoin des cotisations pour pouvoir paraître. ytardieu@free.fr - 06 77 61 08 51 |
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