Éphéméride : 2011, début de l'année...
- Bouroule
- La journée du Café du Centre
- Contes en Voconces
- Les vœux du maire
- 751
- La Maison Bleue
- Le laurier
- Buisson
• Les vitraux de Buisson
• Les vœux du maire
• Autour de la fontaine
- Le Pays Vaison Ventoux bientôt « tout numérique »
- C’est logique
- Le loto de La Gazette
- Le billet
Le loto de la Bibliothèque Mauric, organisé par l'association « La Société de Lecture », s'est déroulé le dimanche 9 janvier à la Maison Garcia.
Les permanents, aidés de quelques adhérents, ont mis en œuvre tout leur savoir-faire pour que cette après-midi soit une réussite. Ils ont fourni beaucoup de lots et confectionné beaucoup de friandises dans l'espoir de générer le plus de bénéfice possible, bénéfice qui permettrait, bien sûr, l'achat de livres.
Environ 80 personnes sont venues jouer : quelques-unes ont gagné et sont reparties ravies avec leur lot, ou un lot de consolation si elles perdaient à la « ballotte ». Les boissons proposées par la buvette ont attiré les gosiers secs et le coin grignotage a permis aux gourmands de régaler leurs papilles.
Malgré les efforts de Josette Avias, pour « bourouler * », et de Christian Paris pour énoncer clairement les ballottes, tout le monde n'a pas pu gagner, mais chacun essaiera de tenter à nouveau sa chance l'année prochaine. L'essentiel n'est-il pas de participer pour que vivent les associations ?
Merci à tous ceux qui étaient là en espérant qu'ils seront encore plus nombreux en 2012.
* Bourouler (Dico des mots) : aller et venir sans raison.
Les permanents, aidés de quelques adhérents, ont mis en œuvre tout leur savoir-faire pour que cette après-midi soit une réussite. Ils ont fourni beaucoup de lots et confectionné beaucoup de friandises dans l'espoir de générer le plus de bénéfice possible, bénéfice qui permettrait, bien sûr, l'achat de livres.
Environ 80 personnes sont venues jouer : quelques-unes ont gagné et sont reparties ravies avec leur lot, ou un lot de consolation si elles perdaient à la « ballotte ». Les boissons proposées par la buvette ont attiré les gosiers secs et le coin grignotage a permis aux gourmands de régaler leurs papilles.
Malgré les efforts de Josette Avias, pour « bourouler * », et de Christian Paris pour énoncer clairement les ballottes, tout le monde n'a pas pu gagner, mais chacun essaiera de tenter à nouveau sa chance l'année prochaine. L'essentiel n'est-il pas de participer pour que vivent les associations ?
Merci à tous ceux qui étaient là en espérant qu'ils seront encore plus nombreux en 2012.
* Bourouler (Dico des mots) : aller et venir sans raison.
Une table avec d’heureux gagnants
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Retour au sommaire 2011, début de l'année... Retour au sommaire Éphéméride 2011Comme chaque année, Lionel et Tess Lazard offrent un buffet pour le Nouvel An. Tous sont invités : les habitués et ceux qui ne viennent que rarement.
Dans une ambiance festive, les convives profitent des mets préparés par Tess, avec l'aide de Lionel. Je vous assure qu’ils ont mis tous les deux la main à la pâte !
Les petits plats du buffet dressé sur le billard invitaient à la dégustation.
Tess et Lionel approvisionnaient le buffet, ils avaient beaucoup à faire. Il y avait aussi Jean-Claude Raffin très efficace, comme toujours, et deux bénévoles de service, Gilbert Nuñez et Bernadette Croon qui ont servi du mieux qu'ils ont pu. La journée était réussie, il y avait une bonne ambiance.
Ce geste de Lionel et Tess est très apprécié par les Villadéens qui viennent très nombreux chaque année.
La journée s'est terminée à minuit passé.
Dans une ambiance festive, les convives profitent des mets préparés par Tess, avec l'aide de Lionel. Je vous assure qu’ils ont mis tous les deux la main à la pâte !
Les petits plats du buffet dressé sur le billard invitaient à la dégustation.
Tess et Lionel approvisionnaient le buffet, ils avaient beaucoup à faire. Il y avait aussi Jean-Claude Raffin très efficace, comme toujours, et deux bénévoles de service, Gilbert Nuñez et Bernadette Croon qui ont servi du mieux qu'ils ont pu. La journée était réussie, il y avait une bonne ambiance.
Ce geste de Lionel et Tess est très apprécié par les Villadéens qui viennent très nombreux chaque année.
La journée s'est terminée à minuit passé.
Gilbert Nuñez, Lionel et Tess Lazard, Godzilla, Bernadette Croon
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Retour au sommaire 2011, début de l'année... Retour au sommaire Éphéméride 2011Les contes et la littérature orale étaient à l'honneur dans les bibliothèques du réseau intercommunal avec la manifestation « Contes en Voconces ».
Le projet des bibliothèques était de mutualiser et de coordonner leurs moyens, leurs ressources dans une action commune pour jeune public.
Le conte joue un rôle important dans la pédagogie de la lecture que les bibliothèques mettent en oeuvre, en direction notamment des enfants. C'est une pédagogie par l'art, le but étant de donner l'envie et le goût de lire.
À cette occasion, la bibliothèque de Villedieu a reçu, le vendredi 10 décembre à la salle Garcia, la conteuse Kady Kaya, choisie parmi plusieurs propositions de la Copavo.
Elle est arrivée à 14 heures, dans une éclatante robe bleue, avec quelques accessoires africains et pendant plus d'une heure, elle a ravi les enfants de l'école, les résidents de La Ramade et quelques adultes. Son spectacle « Au temps d'avant : quand bêtes et gens parlaient la même langue... » a régalé les enfants qui ont participé sans retenue aux histoires et même les grands qui eux aussi se sont pris au jeu.
Tous sont repartis avec des étoiles dans les yeux et une papillote dans la bouche.
Cette initiative a été possible grâce à la Copavo et la mairie de Villedieu qui ont subventionné le spectacle. Il est à espérer qu'elle se renouvelle et nous remercions tous ceux qui ont participé à la mise en place de cet après-midi récréatif.
Le projet des bibliothèques était de mutualiser et de coordonner leurs moyens, leurs ressources dans une action commune pour jeune public.
Le conte joue un rôle important dans la pédagogie de la lecture que les bibliothèques mettent en oeuvre, en direction notamment des enfants. C'est une pédagogie par l'art, le but étant de donner l'envie et le goût de lire.
À cette occasion, la bibliothèque de Villedieu a reçu, le vendredi 10 décembre à la salle Garcia, la conteuse Kady Kaya, choisie parmi plusieurs propositions de la Copavo.
Elle est arrivée à 14 heures, dans une éclatante robe bleue, avec quelques accessoires africains et pendant plus d'une heure, elle a ravi les enfants de l'école, les résidents de La Ramade et quelques adultes. Son spectacle « Au temps d'avant : quand bêtes et gens parlaient la même langue... » a régalé les enfants qui ont participé sans retenue aux histoires et même les grands qui eux aussi se sont pris au jeu.
Tous sont repartis avec des étoiles dans les yeux et une papillote dans la bouche.
Cette initiative a été possible grâce à la Copavo et la mairie de Villedieu qui ont subventionné le spectacle. Il est à espérer qu'elle se renouvelle et nous remercions tous ceux qui ont participé à la mise en place de cet après-midi récréatif.
Kady Kaya a captivé le jeune public
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Retour au sommaire 2011, début de l'année... Retour au sommaire Éphéméride 2011Le 7 janvier 2011, le maire, Yves Tardieu, présentait ses vœux pour cette nouvelle année à la Maison Garcia.
Après avoir remercié l'assistance de sa présence, le maire a fait un récapitulatif des travaux effectués en 2010. Les chantiers de voiries ont été poursuivis sur les chemins ruraux notamment au Ton et au Coustias. La chaudière de l'école a été changée et la mise aux normes du système de chauffage a été faite. Il y a eu aussi la réfection des remparts, du lavoir de la Bourgade et la remise à neuf de l'horloge du Beffroi. La Maison Garcia et la salle des associations continuent d'être équipées et améliorées : le parking a reçu son éclairage et ses premiers arbres. Et enfin, le chantier du cimetière, qui a commencé.
Le maire remercie ensuite les employés municipaux pour leur travail, notamment dans l'amélioration des repas à la cantine et la mise en place de repas « bio », l'amélioration des panneaux d'affichage, sur lesquels tous les Villadéens peuvent lire désormais le compte rendu des conseils municipaux ou leurs convocations.
Yves Tardieu a continué avec les projets de l'année 2011. Malgré les contraintes sur le plan financier, les travaux de voiries continueront ainsi que le chantier du cimetière. Des travaux de mise en discrétion des lignes électriques sont également prévus avec des enfouissements de réseaux. Des travaux sur le réseau d'assainissement (très ancien et pas toujours en bon état) devront être certainement engagés. Le maire précise qu'une partie de ces travaux dépendra des aides qui seront allouées à la municipalité.
Le maire a ensuite parlé des deux gros projets sur lesquels la municipalité travaille : la rénovation complète de la rue des Écoles et de la rue des Espérants, l'ouverture de nouvelles zones à la construction avec le projet du nouveau quartier, qui permettrait d'être exemplaire sur le plan écologique et urbain.
Yves Tardieu s’est aussi exprimé sur les associations du village : « Je voudrais souligner l’accompagnement que nous proposons aux associations dans leurs actions. Je pense au Comité des fêtes avec le travail fait en commun sur la fête votive en organisant un plan de circulation dans le village ou en permettant le rassemblement de motos anciennes ; je pense aux Ringards avec l’équipement du stade, la mise en place de jeux pour les enfants qui sont beaucoup utilisés et transforment le stade en véritable lieu de rencontre ; je pense au Tennis club avec lequel nous avons mis aux normes les équipements électriques du stade.
Au-delà de ces trois exemples, je voudrais souligner, pour la mettre en valeur et dire à quel point elle est importante pour le village, la vitalité des associations, la qualité et la quantité des animations qu’elles proposent. Je sais que le maintien des associations n’est pas toujours facile, notamment le renouvellement du bénévolat et des cadres. Mais au fond, cela renforce l’appréciation positive sur le travail qui est fait. Je tiens à remercier ici chaque association, celles et ceux qui les animent pour leur implication et leur action au service du village. »
Le maire a conclu son discours en renouvelant ses vœux. La cérémonie s’est terminée autour du verre de l'amitié.
Après avoir remercié l'assistance de sa présence, le maire a fait un récapitulatif des travaux effectués en 2010. Les chantiers de voiries ont été poursuivis sur les chemins ruraux notamment au Ton et au Coustias. La chaudière de l'école a été changée et la mise aux normes du système de chauffage a été faite. Il y a eu aussi la réfection des remparts, du lavoir de la Bourgade et la remise à neuf de l'horloge du Beffroi. La Maison Garcia et la salle des associations continuent d'être équipées et améliorées : le parking a reçu son éclairage et ses premiers arbres. Et enfin, le chantier du cimetière, qui a commencé.
Le maire remercie ensuite les employés municipaux pour leur travail, notamment dans l'amélioration des repas à la cantine et la mise en place de repas « bio », l'amélioration des panneaux d'affichage, sur lesquels tous les Villadéens peuvent lire désormais le compte rendu des conseils municipaux ou leurs convocations.
Yves Tardieu a continué avec les projets de l'année 2011. Malgré les contraintes sur le plan financier, les travaux de voiries continueront ainsi que le chantier du cimetière. Des travaux de mise en discrétion des lignes électriques sont également prévus avec des enfouissements de réseaux. Des travaux sur le réseau d'assainissement (très ancien et pas toujours en bon état) devront être certainement engagés. Le maire précise qu'une partie de ces travaux dépendra des aides qui seront allouées à la municipalité.
Le maire a ensuite parlé des deux gros projets sur lesquels la municipalité travaille : la rénovation complète de la rue des Écoles et de la rue des Espérants, l'ouverture de nouvelles zones à la construction avec le projet du nouveau quartier, qui permettrait d'être exemplaire sur le plan écologique et urbain.
Yves Tardieu s’est aussi exprimé sur les associations du village : « Je voudrais souligner l’accompagnement que nous proposons aux associations dans leurs actions. Je pense au Comité des fêtes avec le travail fait en commun sur la fête votive en organisant un plan de circulation dans le village ou en permettant le rassemblement de motos anciennes ; je pense aux Ringards avec l’équipement du stade, la mise en place de jeux pour les enfants qui sont beaucoup utilisés et transforment le stade en véritable lieu de rencontre ; je pense au Tennis club avec lequel nous avons mis aux normes les équipements électriques du stade.
Au-delà de ces trois exemples, je voudrais souligner, pour la mettre en valeur et dire à quel point elle est importante pour le village, la vitalité des associations, la qualité et la quantité des animations qu’elles proposent. Je sais que le maintien des associations n’est pas toujours facile, notamment le renouvellement du bénévolat et des cadres. Mais au fond, cela renforce l’appréciation positive sur le travail qui est fait. Je tiens à remercier ici chaque association, celles et ceux qui les animent pour leur implication et leur action au service du village. »
Le maire a conclu son discours en renouvelant ses vœux. La cérémonie s’est terminée autour du verre de l'amitié.
Yves Tardieu
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Retour au sommaire 2011, début de l'année... Retour au sommaire Éphéméride 2011| Janvier | Février | Mars | Avril | Mai | Juin | Juillet | Août | Septembre | Octobre | Novembre | Décembre |
| 57 | 91 | 64 | 58 | 85 | 37 | 6 | 39 | 80 | 115 | 75 | 44 |
Au total, ça fait 751. Ce sont les millimètres de pluie tombée sur Villedieu en 2010. En tout cas, ceux qui ont été mesurés au point de 5° 1' 57" Est et 44° 17' 23" Nord.
Cette « ultraprécision » est nécessaire tant les conversations du barri, du Centre ou des « chances » de vigne nous apprennent, à chaque chute de pluie, qu’il y a autant de chiffres que de pluviomètres et de lecteurs de pluviomètres. Il est bien probable que d’autres relevés soient un peu différents.
Il est vrai que nous faisons souvent l’expérience d’une bonne averse au plan de Mirabel alors qu’il n’y a que quelques gouttes à Saint-Laurent, d’un « tapas » à Saint-Claude quand il fait presque beau sur la place.
Il est possible aussi que l’état des pluviomètres, celles des lunettes de ceux qui les relèvent et la tendance à embellir la réalité jouent sur ces fluctuations entre quartiers.
Ces 751 millimètres sont légèrement au-dessus de la moyenne, tout au moins si l’on se fie aux relevés de la station météorologique de Carpentras qui nous apprend que la moyenne annuelle des dix dernières années y est de 656,9 mm et le cumul de 2010 y est inférieur à celui de Villedieu avec 666,7 mm.
À Carpentras, le total annuel le plus faible a été de 317,8 mm en 1957 et le plus élevé de 996,6 mm en 2002.
La répartition dans l’année montre que l’été 2010 a été plus sec que d’habitude et l’hiver plus mouillé.
Relevé pluviométrique de Carpentras en 2010
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Retour au sommaire 2011, début de l'année... Retour au sommaire Éphéméride 2011Après sa trêve hivernale mise à profit pour une refonte totale de la salle du restaurant, La Maison Bleue ouvre à nouveau ses portes.
Une décoration originale, un nouveau mobilier étudié pour le confort de la clientèle : tables à pied central et chaises rembourrées, permettront de passer un agréable moment autour d'un bon repas.
C'est dans ce nouveau décor que Daniel et son équipe, Julie et Laurent, vous accueilleront du jeudi au dimanche, de mars à juin et de septembre à octobre, du mardi au dimanche en juillet et août.
Une décoration originale, un nouveau mobilier étudié pour le confort de la clientèle : tables à pied central et chaises rembourrées, permettront de passer un agréable moment autour d'un bon repas.
C'est dans ce nouveau décor que Daniel et son équipe, Julie et Laurent, vous accueilleront du jeudi au dimanche, de mars à juin et de septembre à octobre, du mardi au dimanche en juillet et août.
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Retour au sommaire 2011, début de l'année... Retour au sommaire Éphéméride 2011Si l'olivier est l'arbre le plus caractéristique des régions méditerranéennes, il partage cet espace avec d'autres essences, notamment le laurier-sauce originaire d'Asie Mineure aujourd'hui largement implanté en France.
De la famille des lauracées, cet arbre au port dense peut mesurer jusqu'à douze mètres de hauteur ; reconnaissable à son feuillage persistant d'un beau vert sombre, le laurier est utilisé comme élément décoratif, en bac, seul ou pour une haie. Il supporte sans problème la taille en topiaire.
Ses feuilles alternées et coriaces ont une forme lancéolée, ses petites fleurs blanches ou jaunes se présentent en ombelle et donnent une baie noire comparable à une petite olive ; le tronc est protégé par une écorce lisse de teinte gris-vert assez foncée.
Sa culture facile, son élégant feuillage persistant, le parfum de ses feuilles très apprécié en cuisine, son utilisation en pharmacie sont à l'origine de la présence du laurier dans de nombreux sites et jardins.
Arbre résistant à la sécheresse, ne nécessitant aucun engrais, il supporte des températures de moins dix degrés ; touchées par le gel, ses feuilles deviennent brunes puis tombent, mais souvent dès la saison suivante, de nouvelles feuilles apparaissent. Si ce n'est pas le cas, rabattre l'arbre au ras du sol va provoquer l'apparition de nombreux rejets, il suffit d'être patient.
Le jeune plant de laurier peut être obtenu à partir de la graine ; pendant les premières années, il apprécie un sol meuble riche en matières organiques et une exposition ombragée.
Le parfum de ses feuilles est dû aux terpènes qu'elles contiennent, les terpènes sont des hydrocarbures d'origine végétale que l'on retrouve, par exemple, dans la résine des conifères et dans les feuilles de menthe. Les feuilles séchées font partie du bouquet garni ; elles sont aussi utilisées pour les marinades, les ragoûts, les bouillons, les plats de poisson et même les conserves.
Dans le domaine de la santé, le laurier apporte de nombreux bienfaits avec l'utilisation de l'huile essentielle riche en alcaloïdes obtenue à partir des feuilles et celle de l'essence tirée des fleurs et des racines dans laquelle se retrouvent les terpènes.
Les feuilles broyées préparées en infusion soulagent les migraines, soignent la grippe, atténuent les crampes d'estomac ; elles ont des vertus calmantes et aromatiques ; ajoutées à l'eau du bain, elles adoucissent la peau et rendent les cheveux brillants lors du rinçage.
Depuis l'antiquité, les qualités aseptiques du laurier, remarquées lors des grandes épidémies de peste de l'histoire, ont fait de cette plante un symbole de salubrité, ce qui lui a sans doute valu son qualificatif de « noble ». À partir de ce moment-là, les riches s'y sont intéressés et l'ont introduit dans les plus beaux jardins ainsi que dans les stations thermales et balnéaires chics.
Le laurier-sauce est aussi appelé laurier noble ou laurier d'Apollon le seul utilisable en cuisine. Les autres : laurier-rose et laurier-tin sont toxiques.
Porteur d'autant de qualités, le laurier a pris place dans le langage courant au travers des expressions telles que « se reposer sur ses lauriers » ou « tresser une couronne de laurier ».
Le mot « baccalauréat » vient du latin, car le laurier était digne de couronner le héros, qu'il soit poète ou général vainqueur. La couronne de laurier symbolise la gloire depuis des millénaires.
Encore un petit plus en faveur du laurier : en période estivale, la sieste sous un laurier est un moment de repos sans moustique ni taon, car ils n'apprécient pas son odeur.
De la famille des lauracées, cet arbre au port dense peut mesurer jusqu'à douze mètres de hauteur ; reconnaissable à son feuillage persistant d'un beau vert sombre, le laurier est utilisé comme élément décoratif, en bac, seul ou pour une haie. Il supporte sans problème la taille en topiaire.
Ses feuilles alternées et coriaces ont une forme lancéolée, ses petites fleurs blanches ou jaunes se présentent en ombelle et donnent une baie noire comparable à une petite olive ; le tronc est protégé par une écorce lisse de teinte gris-vert assez foncée.
Sa culture facile, son élégant feuillage persistant, le parfum de ses feuilles très apprécié en cuisine, son utilisation en pharmacie sont à l'origine de la présence du laurier dans de nombreux sites et jardins.
Arbre résistant à la sécheresse, ne nécessitant aucun engrais, il supporte des températures de moins dix degrés ; touchées par le gel, ses feuilles deviennent brunes puis tombent, mais souvent dès la saison suivante, de nouvelles feuilles apparaissent. Si ce n'est pas le cas, rabattre l'arbre au ras du sol va provoquer l'apparition de nombreux rejets, il suffit d'être patient.
Le jeune plant de laurier peut être obtenu à partir de la graine ; pendant les premières années, il apprécie un sol meuble riche en matières organiques et une exposition ombragée.
Le parfum de ses feuilles est dû aux terpènes qu'elles contiennent, les terpènes sont des hydrocarbures d'origine végétale que l'on retrouve, par exemple, dans la résine des conifères et dans les feuilles de menthe. Les feuilles séchées font partie du bouquet garni ; elles sont aussi utilisées pour les marinades, les ragoûts, les bouillons, les plats de poisson et même les conserves.
Dans le domaine de la santé, le laurier apporte de nombreux bienfaits avec l'utilisation de l'huile essentielle riche en alcaloïdes obtenue à partir des feuilles et celle de l'essence tirée des fleurs et des racines dans laquelle se retrouvent les terpènes.
Les feuilles broyées préparées en infusion soulagent les migraines, soignent la grippe, atténuent les crampes d'estomac ; elles ont des vertus calmantes et aromatiques ; ajoutées à l'eau du bain, elles adoucissent la peau et rendent les cheveux brillants lors du rinçage.
Depuis l'antiquité, les qualités aseptiques du laurier, remarquées lors des grandes épidémies de peste de l'histoire, ont fait de cette plante un symbole de salubrité, ce qui lui a sans doute valu son qualificatif de « noble ». À partir de ce moment-là, les riches s'y sont intéressés et l'ont introduit dans les plus beaux jardins ainsi que dans les stations thermales et balnéaires chics.
Le laurier-sauce est aussi appelé laurier noble ou laurier d'Apollon le seul utilisable en cuisine. Les autres : laurier-rose et laurier-tin sont toxiques.
Porteur d'autant de qualités, le laurier a pris place dans le langage courant au travers des expressions telles que « se reposer sur ses lauriers » ou « tresser une couronne de laurier ».
Le mot « baccalauréat » vient du latin, car le laurier était digne de couronner le héros, qu'il soit poète ou général vainqueur. La couronne de laurier symbolise la gloire depuis des millénaires.
Encore un petit plus en faveur du laurier : en période estivale, la sieste sous un laurier est un moment de repos sans moustique ni taon, car ils n'apprécient pas son odeur.
Laurier commun
Laurier en topiaire
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Retour au sommaire 2011, début de l'année... Retour au sommaire Éphéméride 2011Les vitraux de Buisson [ par Michel Blanc Garin, Peintre verrier ]
Il y a huit ans de cela, en vacances à Buisson, j'ai parlé des métiers d'art, des vitraux et de l'église. Un projet de création s'est dessiné.
J'étais inspiré par le paysage du Vaucluse, par les traces de l'antiquité, par la vigne, le soleil. J'avais d'autres impressions plus éphémères, qui me parlaient de Provence : comme celle des costumes noirs et colorés du folklore de la région transposée par un Christian Lacroix pour la mode, par exemple.
J'ai envoyé des maquettes et un devis à Évelyne Malet qui présidait alors l'Association qui s'occupait du Patrimoine de Buisson. De l'argent a été rassemblé. Les moyens étaient modestes, mais tout le monde y mit du sien pour y arriver. Une première commande de deux vitraux des fenêtres des chapelles du bas-côté sud m'a été adressée.
Ces vitraux, maintenant posés, poursuivent l'ébrasement intérieur des baies par un contour de pièces de bordures jaunes, claires et foncées, qui entourent une trame de petits losanges transparents comme du vin blanc dans des verres. Au centre, des superpositions de pièces bleues reproduisent, en petit, le périmètre des ouvertures des baies. Ces espaces dépeignent un ciel imaginaire, qui de jour comme de nuit, reste toujours bleu.
Entre les deux chapelles, le motif est le même. Seule la teinte change : le bleu est rouge dans l'une et vert dans l'autre. Ce sont des qualificatifs que nous donnons à nos verres antiques bleus quand ils sortent des réserves pour signifier qu'il s'agit soit d'un ton chaud, soit d'un ton froid. Il faut dire qu'il existe environ 2.800 références de verres ! Pratiquement pas de tons purs, mais une infinité de gris colorés...
J'avais moi-même pris des mesures pendant l'été précédant la pose ; nous avons créé les vitraux pour les sertir dans les anciennes ferrures remises à neuf. Le carton a été réalisé chez moi en atelier ainsi que la coupe du verre et le montage en plomb. Après masticage, j'ai apporté les panneaux à Buisson où nous avons effectué la pose en deux jours avec l'aide déterminante d'un buissonnais : monsieur Griot, qui sait tout du mélange de sable et de chaux pour composer un mortier de calfeutrement.
À l'arrivée, on pourrait dire : ce ne sont que des verrières neuves ? Oui, mais, elles ont été vitrées dans les règles d'un art ancien unique : le vitrail. Peu après la pose de l'ouvrage, Liliane Blanc, maire de Buisson, nous a passé la commande de deux autres verrières.
Au départ, j'avais dessiné des maquettes pour toutes les baies de l'église, deux d'entre elles étaient plus narratives. Il s'agissait d'une Croix au sud-est, dans la baie ogivale qui surplombe l'autel, et du Saint-Esprit représenté par un oiseau plongeant, dans l'oculus de la haute nef à l'ouest.
J'ai utilisé des couleurs intenses, des rouges profonds, des jaunes orangés, des bleus à saturation en plus du blanc naturellement lumineux. Ce sont elles que nous avons eu à réaliser.
La prise des mesures s'est avérée plus difficile que prévu pour les buissonnais et monsieur Griot, principalement pour des questions d'accès. Mais aussi du fait que l'intérieur de l'église n'a pas d'enduit pour recouvrir les pierres qui sont fort irrégulières particulièrement aux ébrasements. Un maçon de la région a fourni l'échafaudage pour atteindre l'oculus qui est l'ouverture la plus haute de la nef. Frédéric Donnet, mon compagnon, a réalisé la pose.
La baie du chœur étale une large croix d'or latine, presque byzantine par sa surface, elle rappelle celles des joailliers. Elle est pesante comme les bijoux ou les faïences provençales. Des tons de pierreries, à moins qu'ils ne soient de tapisseries, faits de verres jaunes et rouges moirés qu'entourent des pièces rondes en verres opalescents, avec toujours ces losanges teintés au vin blanc, émergeant de fonds bleus, bordés par des filets marbrés.
Au centre de la composition, j'ai gravé des feuillages et j'ai peint des rameaux, qui poussent en espalier sur la croix.
Côté ouest, seule une petite rosace éclairait la nef. Un oiseau blanc dans un ciel d'or losangé paraît au milieu de douze perles bleues entourées de filets rouges : le cadran d'une horloge sans mécanisme. Vers quatre heures, l'après-midi en été, la lumière qui traverse le vitrail colore le sol et l'autel de ses teintes.
Vivante source d'inspiration... Pindare, poète grec, approche en raccourci le rôle de la lumière sur notre condition humaine : « ... l'homme est le rêve d'une ombre, mais quand les dieux dirigent sur lui un rayon, un éclat brillant l'environne et son existence est douce... »
L'important, là comme ailleurs, c'est toujours l'existence. Vivre ces expériences à Buisson m'a heureusement rapproché des mythes grecs.
J'étais inspiré par le paysage du Vaucluse, par les traces de l'antiquité, par la vigne, le soleil. J'avais d'autres impressions plus éphémères, qui me parlaient de Provence : comme celle des costumes noirs et colorés du folklore de la région transposée par un Christian Lacroix pour la mode, par exemple.
J'ai envoyé des maquettes et un devis à Évelyne Malet qui présidait alors l'Association qui s'occupait du Patrimoine de Buisson. De l'argent a été rassemblé. Les moyens étaient modestes, mais tout le monde y mit du sien pour y arriver. Une première commande de deux vitraux des fenêtres des chapelles du bas-côté sud m'a été adressée.
Ces vitraux, maintenant posés, poursuivent l'ébrasement intérieur des baies par un contour de pièces de bordures jaunes, claires et foncées, qui entourent une trame de petits losanges transparents comme du vin blanc dans des verres. Au centre, des superpositions de pièces bleues reproduisent, en petit, le périmètre des ouvertures des baies. Ces espaces dépeignent un ciel imaginaire, qui de jour comme de nuit, reste toujours bleu.
Entre les deux chapelles, le motif est le même. Seule la teinte change : le bleu est rouge dans l'une et vert dans l'autre. Ce sont des qualificatifs que nous donnons à nos verres antiques bleus quand ils sortent des réserves pour signifier qu'il s'agit soit d'un ton chaud, soit d'un ton froid. Il faut dire qu'il existe environ 2.800 références de verres ! Pratiquement pas de tons purs, mais une infinité de gris colorés...
J'avais moi-même pris des mesures pendant l'été précédant la pose ; nous avons créé les vitraux pour les sertir dans les anciennes ferrures remises à neuf. Le carton a été réalisé chez moi en atelier ainsi que la coupe du verre et le montage en plomb. Après masticage, j'ai apporté les panneaux à Buisson où nous avons effectué la pose en deux jours avec l'aide déterminante d'un buissonnais : monsieur Griot, qui sait tout du mélange de sable et de chaux pour composer un mortier de calfeutrement.
À l'arrivée, on pourrait dire : ce ne sont que des verrières neuves ? Oui, mais, elles ont été vitrées dans les règles d'un art ancien unique : le vitrail. Peu après la pose de l'ouvrage, Liliane Blanc, maire de Buisson, nous a passé la commande de deux autres verrières.
Au départ, j'avais dessiné des maquettes pour toutes les baies de l'église, deux d'entre elles étaient plus narratives. Il s'agissait d'une Croix au sud-est, dans la baie ogivale qui surplombe l'autel, et du Saint-Esprit représenté par un oiseau plongeant, dans l'oculus de la haute nef à l'ouest.
J'ai utilisé des couleurs intenses, des rouges profonds, des jaunes orangés, des bleus à saturation en plus du blanc naturellement lumineux. Ce sont elles que nous avons eu à réaliser.
La prise des mesures s'est avérée plus difficile que prévu pour les buissonnais et monsieur Griot, principalement pour des questions d'accès. Mais aussi du fait que l'intérieur de l'église n'a pas d'enduit pour recouvrir les pierres qui sont fort irrégulières particulièrement aux ébrasements. Un maçon de la région a fourni l'échafaudage pour atteindre l'oculus qui est l'ouverture la plus haute de la nef. Frédéric Donnet, mon compagnon, a réalisé la pose.
La baie du chœur étale une large croix d'or latine, presque byzantine par sa surface, elle rappelle celles des joailliers. Elle est pesante comme les bijoux ou les faïences provençales. Des tons de pierreries, à moins qu'ils ne soient de tapisseries, faits de verres jaunes et rouges moirés qu'entourent des pièces rondes en verres opalescents, avec toujours ces losanges teintés au vin blanc, émergeant de fonds bleus, bordés par des filets marbrés.
Au centre de la composition, j'ai gravé des feuillages et j'ai peint des rameaux, qui poussent en espalier sur la croix.
Côté ouest, seule une petite rosace éclairait la nef. Un oiseau blanc dans un ciel d'or losangé paraît au milieu de douze perles bleues entourées de filets rouges : le cadran d'une horloge sans mécanisme. Vers quatre heures, l'après-midi en été, la lumière qui traverse le vitrail colore le sol et l'autel de ses teintes.
Vivante source d'inspiration... Pindare, poète grec, approche en raccourci le rôle de la lumière sur notre condition humaine : « ... l'homme est le rêve d'une ombre, mais quand les dieux dirigent sur lui un rayon, un éclat brillant l'environne et son existence est douce... »
L'important, là comme ailleurs, c'est toujours l'existence. Vivre ces expériences à Buisson m'a heureusement rapproché des mythes grecs.
Oculus de la haute nef
Vitrail jaune et bleu
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Le 8 janvier s'est tenu la traditionnelle cérémonie des vœux du maire à laquelle assistaient de nombreux Buissonnais et Buissonnaises.
Madame le maire souligne que la commune de Buisson bénéficie encore d'un tissu associatif riche et dynamique qui a permis en 2010 de développer et d'animer la vie sociale avec : le vide-grenier, l'apéritif de bienvenue, les deux soirées « Soupes » et « Châtaignes », le goûter et spectacle de Noël pour les enfants, le colis des aînés. Elle remercie aussi Jean Housset qui accompagne chaque cérémonie d'un air de saxophone apprécié de tous.
Madame le maire évoque pour l'avenir les réformes qui bouleverseront les équilibres des territoires, des communes et intercommunalités, en soulignant que la commune est la base de la démocratie et le lien irremplaçable avec les citoyens.
Malgré les temps plus difficiles et la morosité ambiante, des chantiers ont été menés en 2010 :
– Réparation et modification de la conduite d'eau de source qui alimente la fontaine : 6 800 €.
– Travaux d'éclairage public : 1 500 €.
– Travaux d'enfouissement de réseau : 7 500 €.
– Restauration du rempart de la salle des fêtes : 30 500 €, dont 14 400 € financés par le budget communal et le reste par des subventions de la Région et du Conseil Général.
– Réfection de la voirie estimée à 96 100 € : aucune aide n'a été accordée.
– Remplacement des conduites et raccordement initialement en plomb dans la Grande Rue et l'Apparent.
– Installation de toilettes sèches publiques, mises en place par « Ecosphère Technologies », sur la départementale 20 par le Conseil régional, la commune ayant en charge l'entretien des toilettes et des poubelles.
Des projets importants sont annoncés par madame le maire pour l'année 2011 :
– Mise en conformité de l'accès à la salle des fêtes, mise en place d'une porte-coupe-feu.
– Amélioration de l'accès au site de l'ancien cimetière et de son esplanade.
– Aménagement du site Sous le Barry : le projet consiste à stabiliser les voies de circulation existantes avec la création d'une voie nouvelle permettant d'accéder à la zone de construction, la réalisation d'une aire de détente, la création de places de stationnement, dans le plus grand respect environnemental et paysager, précise madame le maire.
Cette opération a un coût de 450 000 € hors taxes. : des subventions ont été obtenues de la Région pour 146 000 €, du Conseil Général pour 96 300 €. Des demandes ont été faites aux parlementaires et au Fond Européen de Développement Régional.
Pour les grands projets à conduire dans les années à venir madame le maire mentionne le remplacement de la station d'épuration qui est en fin de vie.
Après avoir remercié, ses collaborateurs et ses collègues, madame le maire nous invite à partager galettes et verre de l'amitié.
Madame le maire souligne que la commune de Buisson bénéficie encore d'un tissu associatif riche et dynamique qui a permis en 2010 de développer et d'animer la vie sociale avec : le vide-grenier, l'apéritif de bienvenue, les deux soirées « Soupes » et « Châtaignes », le goûter et spectacle de Noël pour les enfants, le colis des aînés. Elle remercie aussi Jean Housset qui accompagne chaque cérémonie d'un air de saxophone apprécié de tous.
Madame le maire évoque pour l'avenir les réformes qui bouleverseront les équilibres des territoires, des communes et intercommunalités, en soulignant que la commune est la base de la démocratie et le lien irremplaçable avec les citoyens.
Malgré les temps plus difficiles et la morosité ambiante, des chantiers ont été menés en 2010 :
– Réparation et modification de la conduite d'eau de source qui alimente la fontaine : 6 800 €.
– Travaux d'éclairage public : 1 500 €.
– Travaux d'enfouissement de réseau : 7 500 €.
– Restauration du rempart de la salle des fêtes : 30 500 €, dont 14 400 € financés par le budget communal et le reste par des subventions de la Région et du Conseil Général.
– Réfection de la voirie estimée à 96 100 € : aucune aide n'a été accordée.
– Remplacement des conduites et raccordement initialement en plomb dans la Grande Rue et l'Apparent.
– Installation de toilettes sèches publiques, mises en place par « Ecosphère Technologies », sur la départementale 20 par le Conseil régional, la commune ayant en charge l'entretien des toilettes et des poubelles.
Des projets importants sont annoncés par madame le maire pour l'année 2011 :
– Mise en conformité de l'accès à la salle des fêtes, mise en place d'une porte-coupe-feu.
– Amélioration de l'accès au site de l'ancien cimetière et de son esplanade.
– Aménagement du site Sous le Barry : le projet consiste à stabiliser les voies de circulation existantes avec la création d'une voie nouvelle permettant d'accéder à la zone de construction, la réalisation d'une aire de détente, la création de places de stationnement, dans le plus grand respect environnemental et paysager, précise madame le maire.
Cette opération a un coût de 450 000 € hors taxes. : des subventions ont été obtenues de la Région pour 146 000 €, du Conseil Général pour 96 300 €. Des demandes ont été faites aux parlementaires et au Fond Européen de Développement Régional.
Pour les grands projets à conduire dans les années à venir madame le maire mentionne le remplacement de la station d'épuration qui est en fin de vie.
Après avoir remercié, ses collaborateurs et ses collègues, madame le maire nous invite à partager galettes et verre de l'amitié.
Liliane Blanc, maire de Buisson
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Madame le maire de Buisson, que nous remercions chaleureusement, a fait réaliser des aménagements qui empêchent le stationnement de véhicules le long de la fontaine et de ses deux bassins.
Quelques plantes et fleurs rendent cet espace agréable et tranquille pour le plus grand plaisir des Buissonnais, petits et grands.
Il ne restera plus qu’à restaurer les enduits des bassins de la fontaine qui sont passablement fissurés.
Quelques plantes et fleurs rendent cet espace agréable et tranquille pour le plus grand plaisir des Buissonnais, petits et grands.
Il ne restera plus qu’à restaurer les enduits des bassins de la fontaine qui sont passablement fissurés.
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Retour au sommaire 2011, début de l'année... Retour au sommaire Éphéméride 2011La région PACA passera dans quelques mois à la télé tout numérique : plus de chaînes et une meilleure qualité d’image et de son. Encore faut-il s’y préparer !
Le Pays Vaison Ventoux effectuera ce passage au tout numérique le 5 Juillet 2011.
La diffusion analogique des chaînes de télévision historiques (TF1, France 2, France 3, France 5, Arte et M6) va ainsi s’arrêter définitivement pour être remplacée par une diffusion exclusivement numérique. Tous les foyers de la région doivent vérifier que leur installation TV permet de recevoir la télévision numérique. Ceux qui ne seraient pas prêts pour le numérique n’auront plus la télévision après le 5 Juillet 2011. Ceux qui se seront équipés recevront jusqu’à 19 chaînes gratuites, avec une meilleure qualité d’image et de son.
Tous les foyers qui reçoivent aujourd’hui au maximum 5 chaînes, par une antenne râteau ou intérieure sont les premiers concernés. Pour continuer à recevoir la télévision après le 5 Juillet 2011, ils doivent adapter leur installation à un mode de réception numérique (adaptateur TNT, téléviseur « TNT intégrée », ADSL, satellite, câble ou fibre optique).
Renseignez-vous avant tout achat. Pour vous guider, de nombreux professionnels (magasins et antennistes) se sont engagés à proposer aux téléspectateurs des produits et prestations de qualité au prix du marché, en signant la charte de confiance « tous au numérique ». Ils sont reconnaissables grâce au logo « Professionnel agréé – tous au numérique ». Pour obtenir leurs coordonnées téléphonez au 09 70 818 818* ou visitez le site www.tousaunumerique.fr.
Il existe des aides financières, accessibles sous certaines conditions aux foyers qui reçoivent aujourd’hui uniquement les cinq chaînes historiques et éventuellement une chaîne locale par une antenne râteau ou intérieure. S’ils remplissent les conditions d’attribution, ces foyers peuvent bénéficier d’une aide de 25 € maximum pour s’équiper et d’une aide de 120 € maximum dans le cas d’une intervention sur leur antenne râteau.
Pour les foyers qui ne seraient pas couverts en TNT, une aide de 250 € maximum est attribuée sans condition de ressources pour l’acquisition d’un mode de réception alternatif comme la parabole.
Dans tous les cas, gardez bien vos factures et vos tickets de caisse, ils vous seront demandés pour tout remboursement. Les aides financières sont disponibles dans un délai maximum de six mois après le passage au numérique.
Adressez-vous au centre d’appel* pour connaître précisément les conditions d’attribution et bénéficier de ces aides.
* 09 70 818 818 : numéro non surtaxé, prix d’un appel local, du lundi au samedi de 8 heures à 21 heures.
Pour tous renseignements contactez le référent de la Copavo : Florent Battestini, au 04 90 36 16 29 ou f.battestini@copavo.fr.
Le Pays Vaison Ventoux effectuera ce passage au tout numérique le 5 Juillet 2011.
La diffusion analogique des chaînes de télévision historiques (TF1, France 2, France 3, France 5, Arte et M6) va ainsi s’arrêter définitivement pour être remplacée par une diffusion exclusivement numérique. Tous les foyers de la région doivent vérifier que leur installation TV permet de recevoir la télévision numérique. Ceux qui ne seraient pas prêts pour le numérique n’auront plus la télévision après le 5 Juillet 2011. Ceux qui se seront équipés recevront jusqu’à 19 chaînes gratuites, avec une meilleure qualité d’image et de son.
Tous les foyers qui reçoivent aujourd’hui au maximum 5 chaînes, par une antenne râteau ou intérieure sont les premiers concernés. Pour continuer à recevoir la télévision après le 5 Juillet 2011, ils doivent adapter leur installation à un mode de réception numérique (adaptateur TNT, téléviseur « TNT intégrée », ADSL, satellite, câble ou fibre optique).
Renseignez-vous avant tout achat. Pour vous guider, de nombreux professionnels (magasins et antennistes) se sont engagés à proposer aux téléspectateurs des produits et prestations de qualité au prix du marché, en signant la charte de confiance « tous au numérique ». Ils sont reconnaissables grâce au logo « Professionnel agréé – tous au numérique ». Pour obtenir leurs coordonnées téléphonez au 09 70 818 818* ou visitez le site www.tousaunumerique.fr.
Il existe des aides financières, accessibles sous certaines conditions aux foyers qui reçoivent aujourd’hui uniquement les cinq chaînes historiques et éventuellement une chaîne locale par une antenne râteau ou intérieure. S’ils remplissent les conditions d’attribution, ces foyers peuvent bénéficier d’une aide de 25 € maximum pour s’équiper et d’une aide de 120 € maximum dans le cas d’une intervention sur leur antenne râteau.
Pour les foyers qui ne seraient pas couverts en TNT, une aide de 250 € maximum est attribuée sans condition de ressources pour l’acquisition d’un mode de réception alternatif comme la parabole.
Dans tous les cas, gardez bien vos factures et vos tickets de caisse, ils vous seront demandés pour tout remboursement. Les aides financières sont disponibles dans un délai maximum de six mois après le passage au numérique.
Adressez-vous au centre d’appel* pour connaître précisément les conditions d’attribution et bénéficier de ces aides.
* 09 70 818 818 : numéro non surtaxé, prix d’un appel local, du lundi au samedi de 8 heures à 21 heures.
Pour tous renseignements contactez le référent de la Copavo : Florent Battestini, au 04 90 36 16 29 ou f.battestini@copavo.fr.
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Retour au sommaire 2011, début de l'année... Retour au sommaire Éphéméride 2011Début décembre je me suis gelé durant une heure dans ma voiture. Le chauffage ne fonctionnait plus.
Mon gendre mécanicien, consulté, m’a diagnostiqué la panne#160;: «#160;C’est logique, il n’y a plus de liquide de refroidissement#160;».
Ah bon#160;! C’est logique#160;!
Un moment perplexe, j’ai compris#160;: s’il a fait si froid en décembre, c’est parce que la terre se réchauffe. Logique, non ?
Bon, il est six heures du matin, je vais logiquement cliquer sur «#160;démarrer#160;» pour arrêter mon ordinateur et toujours logiquement et même un peu migraineux, j’irai me coucher.
Bonne nuit.
Mon gendre mécanicien, consulté, m’a diagnostiqué la panne#160;: «#160;C’est logique, il n’y a plus de liquide de refroidissement#160;».
Ah bon#160;! C’est logique#160;!
Un moment perplexe, j’ai compris#160;: s’il a fait si froid en décembre, c’est parce que la terre se réchauffe. Logique, non ?
Bon, il est six heures du matin, je vais logiquement cliquer sur «#160;démarrer#160;» pour arrêter mon ordinateur et toujours logiquement et même un peu migraineux, j’irai me coucher.
Bonne nuit.
Retour au sommaire 2011, début de l'année... Retour au sommaire Éphéméride 2011Le loto de La Gazette a eu lieu le 29 janvier 2011. Cette année encore, il s'est déroulé à deux endroits : à la Maison Garcia et au Café du Centre.
L'équipe du café se composait d’Olivier Sac qui assurait la liaison avec la salle des fêtes par téléphone, de Laurie Tardieu qui gérait l'ordinateur, et d’André Dieu qui vendait les cartons et annonçait les numéros gagnants.
À la Maison Garcia, Yves Tardieu en communication avec le café annonçait les numéros, Bernadette Croon vérifiait les jeux gagnants, et Véronique Le Lous « bouroulait ».
Le loto s'est joué sur dix parties comprenant trois cartons pleins, avec une partie à « carton vide » après l'entracte.
Tout s'est très bien déroulé, certains déçus de ne pas avoir gagné, tandis que d'autres étaient ravis avec leurs lots.
Pendant le déroulement du jeu, des bénévoles préparaient le repas qui était proposé à l’issue du loto. Les « patates saucisses » ont remporté un vrai succès.
La soirée s'est poursuivie en musique, animée par Jean-Marc Calmette. Les tables ont été poussées pour permettre aux convives de danser.
Ce fut une soirée très agréable qui a fini fort tard dans la nuit.
La Gazette vous invite à revenir l’année prochaine !
L'équipe du café se composait d’Olivier Sac qui assurait la liaison avec la salle des fêtes par téléphone, de Laurie Tardieu qui gérait l'ordinateur, et d’André Dieu qui vendait les cartons et annonçait les numéros gagnants.
À la Maison Garcia, Yves Tardieu en communication avec le café annonçait les numéros, Bernadette Croon vérifiait les jeux gagnants, et Véronique Le Lous « bouroulait ».
Le loto s'est joué sur dix parties comprenant trois cartons pleins, avec une partie à « carton vide » après l'entracte.
Tout s'est très bien déroulé, certains déçus de ne pas avoir gagné, tandis que d'autres étaient ravis avec leurs lots.
Pendant le déroulement du jeu, des bénévoles préparaient le repas qui était proposé à l’issue du loto. Les « patates saucisses » ont remporté un vrai succès.
La soirée s'est poursuivie en musique, animée par Jean-Marc Calmette. Les tables ont été poussées pour permettre aux convives de danser.
Ce fut une soirée très agréable qui a fini fort tard dans la nuit.
La Gazette vous invite à revenir l’année prochaine !
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Retour au sommaire 2011, début de l'année... Retour au sommaire Éphéméride 2011Pour la première fois, une gazette a été faite dans le nouveau local de l’association. La Gazette a sollicité la mairie pour pouvoir utiliser le lieu dédié anciennement à la bibliothèque, dans la Grand’rue. Après l’accord du conseil municipal, une convention a été signée entre l’association et la commune. Le local a été équipé et décoré par l’association. Ce nouvel espace est ouvert à ceux qui le souhaitent. Chacun peut s’y arrêter s’il y voit de la lumière. Une boîte aux lettres permet de déposer articles et cotisations.
Sous la houlette de la nouvelle présidente, un comité de rédaction très assidu a concocté le numéro.
Ce numéro, comme souvent en cette saison, fait une large place aux assemblées générales des associations. Le renouveau des Mouresques, la nouvelle pièce du Théâtre de La Gazette et la retraite de « Dédé » font également la moelle de ce numéro.
Les dix ans de l’association y sont retracés rapidement : nous espérons nous retrouver nombreux le 18 mai sur la place pour fêter ça.
En attendant, rendez-vous à la cave, avec laquelle nous proposons un conte, Les chicoteuses par la compagnie Fabula, le 9 avril à 20 h 30.
La Gazette 70 est commencée : à vos idées et plumes !
Sous la houlette de la nouvelle présidente, un comité de rédaction très assidu a concocté le numéro.
Ce numéro, comme souvent en cette saison, fait une large place aux assemblées générales des associations. Le renouveau des Mouresques, la nouvelle pièce du Théâtre de La Gazette et la retraite de « Dédé » font également la moelle de ce numéro.
Les dix ans de l’association y sont retracés rapidement : nous espérons nous retrouver nombreux le 18 mai sur la place pour fêter ça.
En attendant, rendez-vous à la cave, avec laquelle nous proposons un conte, Les chicoteuses par la compagnie Fabula, le 9 avril à 20 h 30.
La Gazette 70 est commencée : à vos idées et plumes !
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