Récréation : Brèves de comptoir
Brèves de comptoir
Pour avoir un OVNI qui se pose il faut avoir un jardin.
- Dis papa, qui c’est qui m’a donné l’intelligence ?
- C’est maman...
- Et toi ?
- Moi, je l’ai gardée.
Moi les cons ça me fait plus rien, c’est comme les antibiotiques.
Un milliard pour les chômeurs c'est quoi ?
C'est une goutte d'eau !
Moi j'en veux pas du milliard je suis pas un clodo !
Les photos ça veut rien dire, tout le monde sourit...
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Sur le toit
Il y a deux gars raides déglingués qui sortent du Centre où ils ont été boire l'apéro.
"Ouktami la bagnole ? "
"Chaiplus ! "
"Bon je vais chercher par là et toi par là... "
Et les voila qui tâtent le toit de deux voitures.
"C'est pas celle-la !"
"Pas celle-la non plus !"
Et ils tâtent les toits de deux autres tires.
"Pas celle-là..."
"Pas celle-la non plus..."
Et ils continuent.
Gérard qui promène son chien, intrigué, demande au plus proche :
"Je ne suis pas curieux mais j'aimerais savoir, comment vous pouvez reconnaître votre voiture en tâtant le toit ?"
"Tout simple, sur le toit de la nôtre il y a un gyrophare bleu..."
"Ouktami la bagnole ? "
"Chaiplus ! "
"Bon je vais chercher par là et toi par là... "
Et les voila qui tâtent le toit de deux voitures.
"C'est pas celle-la !"
"Pas celle-la non plus !"
Et ils tâtent les toits de deux autres tires.
"Pas celle-là..."
"Pas celle-la non plus..."
Et ils continuent.
Gérard qui promène son chien, intrigué, demande au plus proche :
"Je ne suis pas curieux mais j'aimerais savoir, comment vous pouvez reconnaître votre voiture en tâtant le toit ?"
"Tout simple, sur le toit de la nôtre il y a un gyrophare bleu..."
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Brèves de comptoir
Un végétarien qui bouffe une plante carnivore : c'est le monde à l'envers.
Il avait tout pour réussir, il a tout raté. C'est déjà bien.
Une fois n'est pas coutume. Deux fois non plus.
« Depuis hier j'ai des fourmis dans les jambes »...
« Vous avez peut-être un sucre dans la poche ? ».
Il avait tout pour réussir, il a tout raté. C'est déjà bien.
Une fois n'est pas coutume. Deux fois non plus.
« Depuis hier j'ai des fourmis dans les jambes »...
« Vous avez peut-être un sucre dans la poche ? ».
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Une histoire
Sur une petite île perdue au milieu de l’océan, un homme barbu agite désespérément les bras en direction d’un bâteau.
Sur le pont un passager demande au capitaine :
- Qui c’est ?
- Aucune idée, on passe tous les ans devant son île et chaque fois ça le rend fou.
Sur le pont un passager demande au capitaine :
- Qui c’est ?
- Aucune idée, on passe tous les ans devant son île et chaque fois ça le rend fou.
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Brèves de comptoir [ par Paulette Mathieu ]
Œil : Pendant que tu dors, l'œil, il continue de regarder la paupière mais il se fait chier.
Panthère noire : La panthère noire, c'est l'animal le plus dangereux après la moule pourrie.
Peinture : La peinture, c'est rien qu'un truc qu'on fixe au mur avec un clou. Rembrandt est rien sans un clou.
Piscine : J'aime pas aller à la piscine, tout le monde te regarde, si tu te noies, c'est la honte.
Politique : Et je serre les mains ! Et je serre les mains ! La politique, c’est plus rien qu’un travail manuel aujourd’hui.
Fumeurs : À cause des fumeurs, on voit de moins en moins de jambes de bois.
Architectes : Le plus doué des architectes c’est la termite.
Sculpture : Un pied sculpté, même le plus grand sculpteur recompte les doigts.
Panthère noire : La panthère noire, c'est l'animal le plus dangereux après la moule pourrie.
Peinture : La peinture, c'est rien qu'un truc qu'on fixe au mur avec un clou. Rembrandt est rien sans un clou.
Piscine : J'aime pas aller à la piscine, tout le monde te regarde, si tu te noies, c'est la honte.
Politique : Et je serre les mains ! Et je serre les mains ! La politique, c’est plus rien qu’un travail manuel aujourd’hui.
Fumeurs : À cause des fumeurs, on voit de moins en moins de jambes de bois.
Architectes : Le plus doué des architectes c’est la termite.
Sculpture : Un pied sculpté, même le plus grand sculpteur recompte les doigts.
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Brèves de comptoir [ par Alain Ripert ]
La Gazette est heureuse de présenter la première brève authentiquement villadéenne, elle qui avait l’habitude de piocher dans l’ouvrage de Jean-Marie Gourio.
Elle espère que cette brève fera école auprès des clients du Centre :
« Tout le monde voit quand on a trop bu, mais personne ne voit quand on a soif ! »
Elle espère que cette brève fera école auprès des clients du Centre :
« Tout le monde voit quand on a trop bu, mais personne ne voit quand on a soif ! »
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Euthanasie [ Texte proposé par René Kermann ]
Ma femme et moi étions assis dans le lit la nuit dernière, discutant des choses de la vie. Nous parlions de l'idée de vivre ou mourir, et je lui dis :
« Ne me laisse jamais vivre dans un état végétatif, dépendant d'une machine et de liquides. Si tu me vois dans cet état, débranche tous les éléments qui me maintiennent en vie. »
Sur ce, elle s'est levée, a débranché le câble de la télé et m'a enlevé ma bière.
La salope !!!
« Ne me laisse jamais vivre dans un état végétatif, dépendant d'une machine et de liquides. Si tu me vois dans cet état, débranche tous les éléments qui me maintiennent en vie. »
Sur ce, elle s'est levée, a débranché le câble de la télé et m'a enlevé ma bière.
La salope !!!
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Devine quoi ?
Que s’est-il passé en 1111 ?
L’invasion des uns
Que fait un crocodile quand il en rencontre un autre ?
Il l’accoste
Comment ramasse t-on la papaye ?
Avec une foufourche
Quel est le pluriel d’un Coca ?
Des haltères (parce qu’un Coca désaltère)
L’invasion des uns
Que fait un crocodile quand il en rencontre un autre ?
Il l’accoste
Comment ramasse t-on la papaye ?
Avec une foufourche
Quel est le pluriel d’un Coca ?
Des haltères (parce qu’un Coca désaltère)
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Brèves
Les subtilités de la langue française
J’ai le bras droit qui devient « gauche ».quand je tiens quelque chose.
J’ai de la « préhension » mais, quand je veux prendre quelque chose, j’ai de l’« appréhension ».
Et de tout lâcher !
Diététique
Mon épouse et moi avons décidé de suivre les conseils des diététiciens et de « consommer cinq fruits ou légumes par jour ».
Mon épouse a gaillardement avalé ses dix petits pois.
J’ai calé après ma troisième pastèque.
J’ai le bras droit qui devient « gauche ».quand je tiens quelque chose.
J’ai de la « préhension » mais, quand je veux prendre quelque chose, j’ai de l’« appréhension ».
Et de tout lâcher !
Colette Percheron
Diététique
Mon épouse et moi avons décidé de suivre les conseils des diététiciens et de « consommer cinq fruits ou légumes par jour ».
Mon épouse a gaillardement avalé ses dix petits pois.
J’ai calé après ma troisième pastèque.
René Kermann
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Le sable ou la pierre
Deux amis étaient perdus dans un désert aride, sous un soleil brûlant, en n'ayant qu'une très faible quantité d'eau.
Au bout d'un moment, la chaleur était telle, qu'ils en vinrent à se disputer les dernières gouttes.
L'un des deux donna une gifle à l'autre. Ce dernier, endolori, mais sans rien dire écrivit dans le sable : « Aujourd'hui mon ami m'a frappé ». Étonné son ami ne rétorqua pourtant rien ; il s'excusa et les deux continuèrent leur route.
Le lendemain, ils arrivèrent à une oasis. Aussitôt arrivés ils allèrent se baigner dans un point d'eau, mais celui qui avait écrit sur le sable perdit connaissance et se noya. Son ami plongea alors et le ramena sur la terre ferme.
Après avoir repris son souffle, celui-ci prit une pierre et y grava ces mots :
« Aujourd'hui mon ami m'a sauvé la vie. »
Celui qui avait donné la gifle et sauvé son ami lui demanda : « quand je t'ai blessé, tu as écrit sur le sable et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi ? »
Il lui répondit alors : « quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable où les vents du pardon peuvent l'effacer ; mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, là où aucun vent ne peut l'effacer. »
Apprends à écrire tes peines sur le sable et à graver tes joies dans la pierre.
Petit conte philosophique anonyme
Au bout d'un moment, la chaleur était telle, qu'ils en vinrent à se disputer les dernières gouttes.
L'un des deux donna une gifle à l'autre. Ce dernier, endolori, mais sans rien dire écrivit dans le sable : « Aujourd'hui mon ami m'a frappé ». Étonné son ami ne rétorqua pourtant rien ; il s'excusa et les deux continuèrent leur route.
Le lendemain, ils arrivèrent à une oasis. Aussitôt arrivés ils allèrent se baigner dans un point d'eau, mais celui qui avait écrit sur le sable perdit connaissance et se noya. Son ami plongea alors et le ramena sur la terre ferme.
Après avoir repris son souffle, celui-ci prit une pierre et y grava ces mots :
« Aujourd'hui mon ami m'a sauvé la vie. »
Celui qui avait donné la gifle et sauvé son ami lui demanda : « quand je t'ai blessé, tu as écrit sur le sable et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi ? »
Il lui répondit alors : « quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable où les vents du pardon peuvent l'effacer ; mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, là où aucun vent ne peut l'effacer. »
Apprends à écrire tes peines sur le sable et à graver tes joies dans la pierre.
Petit conte philosophique anonyme
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Brèves de comptoir
Cravate : accessoire servant à indiquer la direction du cerveau de l’homme.
Carla Bruni : Blanche-Neige moderne ayant eu une préférence pour un des sept nains : Grincheux.
Voiture : invention ingénieuse permettant de contenir 110 chevaux dans le moteur et un âne au volant.
Parents : deux personnes qui t’apprennent à marcher et à parler pour ensuite te dire de t’asseoir et de fermer ta gueule.
Oui-oui : fils illégitime de Sissi.
Boule de flipper : testicule de dauphin.
Facebook : le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule.
Carla Bruni : Blanche-Neige moderne ayant eu une préférence pour un des sept nains : Grincheux.
Voiture : invention ingénieuse permettant de contenir 110 chevaux dans le moteur et un âne au volant.
Parents : deux personnes qui t’apprennent à marcher et à parler pour ensuite te dire de t’asseoir et de fermer ta gueule.
Oui-oui : fils illégitime de Sissi.
Boule de flipper : testicule de dauphin.
Facebook : le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule.
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