Récréation : J'ai vu...
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• Gazette N°72 - 29 septembre 2011 • Le discours du roi - Tom Hooper • Gazette N°76 - 15 juin 2012 • Le concert - Radu Mihaileanu |
J’ai vu... Le discours du roi [ par Mireille Dieu ]
Le film « Le discours du roi », réalisé par Tom Hooper, est sorti en février 2011.
Inspiré de l'histoire vraie et méconnue du père de l'actuelle Reine Élisabeth d'Angleterre, qui va devenir contraint et forcé, le Roi George V. Celui-ci, bègue dès son enfance, se prépare à prononcer le discours le plus important de sa vie. Il tentera de surmonter son handicap grâce au soutien de sa femme et d'un thérapeute du langage aux méthodes peu conventionnelles.
Ce film, qui a obtenu quatre statuettes lors de la 83e cérémonie des Oscars à Hollywood, a été tiré d'une pièce de théâtre qui avait été vue par la mère du réalisateur Tom Hooper et qui a suggéré à son fils d'en faire un film. Comme quoi, il faut toujours écouter sa mère.
C'est un film bouleversant, finement écrit, renversant d'intelligence, et doublé d'une belle histoire d'amitié.
Inspiré de l'histoire vraie et méconnue du père de l'actuelle Reine Élisabeth d'Angleterre, qui va devenir contraint et forcé, le Roi George V. Celui-ci, bègue dès son enfance, se prépare à prononcer le discours le plus important de sa vie. Il tentera de surmonter son handicap grâce au soutien de sa femme et d'un thérapeute du langage aux méthodes peu conventionnelles.
Ce film, qui a obtenu quatre statuettes lors de la 83e cérémonie des Oscars à Hollywood, a été tiré d'une pièce de théâtre qui avait été vue par la mère du réalisateur Tom Hooper et qui a suggéré à son fils d'en faire un film. Comme quoi, il faut toujours écouter sa mère.
C'est un film bouleversant, finement écrit, renversant d'intelligence, et doublé d'une belle histoire d'amitié.
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J'ai vu... Le concert [ par Mireille Dieu ]
J ’ai vu ce film il y a environ deux ans. Radu Mihaileanu en est le
réalisateur et le scénariste. D’origine roumaine, il fuit le régime
de Ceaucescu et vient en France pour se consacrer pleinement
au septième art. Il est l’auteur de plusieurs films avec toujours en
toile de fond les mêmes thèmes : l’exil et la recherche d’identité.
C’est en 2009 que le film « Le concert » paraît dans les salles. L’histoire est véridique. C’est arrivé en Russie dans les années 80, sous le régime de Brejnev.
Andrei Filipov était le plus grand chef d'orchestre d'Union soviétique et dirigeait l'Orchestre du Bolchoï. Après avoir été licencié avec quelques musiciens pour des raisons politiques, il se retrouve au poste de concierge et homme de ménage dans ce même théâtre Bolchoï. Grâce à un stratagème bien combiné, il a l’opportunité de jouer à Paris et met tout en oeuvre pour réunir sa vieille équipe de musiciens. À force de persévérance et après bien des tracas, il y parvient et arrive à Paris avec son orchestre. C’est une scène très pittoresque avec des situations on ne peut plus comiques. Enfin a lieu le concert et Andrei Filipov se produit avec une jeune violoniste dont il apprendra plus tard les origines. C’est un moment clé du film. La scène du déroulement du concert est un moment plein d’émotions.
Le film, sélectionné pour les Césars 2010, est passé sur France 3 le 10 mai et je l’ai revu avec plaisir (ce qui m’a d’ailleurs fait manquer la réunion de La Gazette) ; il fait partie de ces oeuvres cinématographiques riches en rires, larmes, musique et passion. Tous ces éléments réunis font que l’on n’en oublie jamais le scénario.
C’est en 2009 que le film « Le concert » paraît dans les salles. L’histoire est véridique. C’est arrivé en Russie dans les années 80, sous le régime de Brejnev.
Andrei Filipov était le plus grand chef d'orchestre d'Union soviétique et dirigeait l'Orchestre du Bolchoï. Après avoir été licencié avec quelques musiciens pour des raisons politiques, il se retrouve au poste de concierge et homme de ménage dans ce même théâtre Bolchoï. Grâce à un stratagème bien combiné, il a l’opportunité de jouer à Paris et met tout en oeuvre pour réunir sa vieille équipe de musiciens. À force de persévérance et après bien des tracas, il y parvient et arrive à Paris avec son orchestre. C’est une scène très pittoresque avec des situations on ne peut plus comiques. Enfin a lieu le concert et Andrei Filipov se produit avec une jeune violoniste dont il apprendra plus tard les origines. C’est un moment clé du film. La scène du déroulement du concert est un moment plein d’émotions.
Le film, sélectionné pour les Césars 2010, est passé sur France 3 le 10 mai et je l’ai revu avec plaisir (ce qui m’a d’ailleurs fait manquer la réunion de La Gazette) ; il fait partie de ces oeuvres cinématographiques riches en rires, larmes, musique et passion. Tous ces éléments réunis font que l’on n’en oublie jamais le scénario.
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